C’est un homme qui a consacré toute sa vie à l’enseignement et à la jeunesse qui vient de disparaître. Jo Streeter est décédé à Nouméa à l’âge de 70 ans, des suites d’une longue maladie.
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Jo Streeter était un homme de caractère, opiniâtre, déterminé mais ouvert et attentif aux autres. Aux côtés de Jean Marie Tjibaou, dès les débuts de Mélanasia 2000 , en 1975 et membre de l’Union Calédonienne, il ne s’est pas contenté de revendiquer, pour le monde kanak, une vraie place dans la culture et la société calédonienne en se lançant, très vite, dans l’action concrète, en adéquation avec ses idéaux.
Co fondateur de l’ACAF (Association Calédonienne pour l’Animation et la Formation), dont il était devenu le Président depuis 20 ans, il était aussi à la tête de l’Association pour la l’Enfance et la Jeunesse (APEJ). Il n’oubliera jamais son engagement en faveur de l’enseignement et de la jeunesse lors de ses nombreuses missions provinciales ou coutumières mais aussi lorsqu’il rejoindra le Conseil Economique et Social. Homme de dialogue, sincère dans ses convictions, désintéressé dans son action, il laisse orphelines de nombreuses associations à qui il a tout donné.
Généreux, ne comptant pas son temps malgré une maladie, le diabète, qui lui prenait chaque jour davantage de forces, Jo Streeter était un homme public unanimement apprécié mais aussi un homme discret, au service des autres. Nombreux sont ceux qui ont bénéficié, dans la plus grande discrétion, de son aide et soutien dans des moments difficiles.
Ses obsèques sont prévues mercredi après-midi à 15h00, à Nouméa, au cimetière du 5 ème kilomètre.
Co fondateur de l’ACAF (Association Calédonienne pour l’Animation et la Formation), dont il était devenu le Président depuis 20 ans, il était aussi à la tête de l’Association pour la l’Enfance et la Jeunesse (APEJ). Il n’oubliera jamais son engagement en faveur de l’enseignement et de la jeunesse lors de ses nombreuses missions provinciales ou coutumières mais aussi lorsqu’il rejoindra le Conseil Economique et Social. Homme de dialogue, sincère dans ses convictions, désintéressé dans son action, il laisse orphelines de nombreuses associations à qui il a tout donné.
Généreux, ne comptant pas son temps malgré une maladie, le diabète, qui lui prenait chaque jour davantage de forces, Jo Streeter était un homme public unanimement apprécié mais aussi un homme discret, au service des autres. Nombreux sont ceux qui ont bénéficié, dans la plus grande discrétion, de son aide et soutien dans des moments difficiles.
Ses obsèques sont prévues mercredi après-midi à 15h00, à Nouméa, au cimetière du 5 ème kilomètre.