La grève générale déclenchée par cinq syndicats commence ce mercredi, elle sera reconductible toutes les 24 heures et de nombreux secteurs d'activités risquent d'être perturbés.
USOENC, CFE-CGC,CSTNC,COGETRA et Fédération des fonctionnaires veulent faire de ce mercredi une journée de forte mobilisation dans le combat contre la vie chère. Avec cette grève générale et une marche dans les rues de Nouméa, l'intersyndicale espère obtenir l'application de mesures immédiates pour faire baisser les prix.
Mais pas de trêve dans les rivalités syndicalo-politiques, en effet, à la veille de cette journée de mobilisation, l'USTKE a tenu à préciser que "contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, l’USTKE ne fait pas partie de l’intersyndicale proche de Calédonie Ensemble mais que l’USTKE participe activement à la commission vie chère mise en place au Congrès et a signé les accords économiques et sociaux au même titre que l’intersyndicale le 12 juin 2012. Il faut d’ailleurs souligner que, sous couvert de défense du pouvoir d’achat, les mobilisations de l’intersyndicale s’expriment avec virulence depuis que Philippe Gomes a perdu la présidence du gouvernement, comme si la question de la vie chère n’avait commencé qu’à ce moment-là mais n’existait pas auparavant."
Malgré l'adoption récente d'une loi anti-trusts par le congrès et les nouvelles propositions du gouvernement de Nouvelle-Calédonie, l'intersyndicale a décidé de maintenir son mot d'ordre de grève générale.
Mais pas de trêve dans les rivalités syndicalo-politiques, en effet, à la veille de cette journée de mobilisation, l'USTKE a tenu à préciser que "contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, l’USTKE ne fait pas partie de l’intersyndicale proche de Calédonie Ensemble mais que l’USTKE participe activement à la commission vie chère mise en place au Congrès et a signé les accords économiques et sociaux au même titre que l’intersyndicale le 12 juin 2012. Il faut d’ailleurs souligner que, sous couvert de défense du pouvoir d’achat, les mobilisations de l’intersyndicale s’expriment avec virulence depuis que Philippe Gomes a perdu la présidence du gouvernement, comme si la question de la vie chère n’avait commencé qu’à ce moment-là mais n’existait pas auparavant."
Une chose est sûre, entre les prises de positions des syndicats et les réactions politiques, la lutte contre la vie chère est devenue l'enjeu numéro un des élections de 2014...L'avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie semble être pour le moment relégué à la seconde place...
Malgré l'adoption récente d'une loi anti-trusts par le congrès et les nouvelles propositions du gouvernement de Nouvelle-Calédonie, l'intersyndicale a décidé de maintenir son mot d'ordre de grève générale.