Alors que l'épidémie de dengue de type 1 sévit depuis le mois d'avril 2012 en Nouvelle-Calédonie, avec près de 11 000 cas enregistrés et 5 personnes décédées, un cas de dengue de type 2 importé de Guyane a été détecté chez un habitant du quartier latin à Nouméa.
L'apparition de ce cas de type 2 chez un habitant du quartier latin à Nouméa qui revient d'un séjour en Guyane met en alerte les autorités sanitaires.
Il faut en effet remonter en 1998 pour retrouver les traces d'une épidémie de type 2 en Nouvelle-Calédonie, à cette époque, seulement 3000 personnes avaient été contaminées, autrement dit la majorité de la population n'est pas immunisée contre ce nouveau virus de la dengue.
Depuis avril 2012, l'archipel est victime d'une épidémie de dengue de type 1, près de 11000 personnes ont été frappées par les symptômes de la maladie et cinq d'entre elles n'ont pas survécu.
Le mélange des virus de type 1 et 2 , avec en plus le chikungunya qui rôde toujours, tout cela ne laisse rien présager de bon au retour des premières chaleurs sans compter que le moustique aedes egyptti a définitivement prouvé qu'il savait résister à la fraîcheur de l'hiver australe.
Plus que jamais la DASS ( la direction des affaires sanitaires et sociales ) rappellent donc les consignes de vigilance comme la lutte contre les gîtes larvaires et la protection individuelle avec des répulsifs.
Des épandages ont été réalisés dans le quartier latin et la zone du Mont-Coffyn pour tenter d'éviter le début d'une épidémie de type 2.
Il faut en effet remonter en 1998 pour retrouver les traces d'une épidémie de type 2 en Nouvelle-Calédonie, à cette époque, seulement 3000 personnes avaient été contaminées, autrement dit la majorité de la population n'est pas immunisée contre ce nouveau virus de la dengue.
Depuis avril 2012, l'archipel est victime d'une épidémie de dengue de type 1, près de 11000 personnes ont été frappées par les symptômes de la maladie et cinq d'entre elles n'ont pas survécu.
Le mélange des virus de type 1 et 2 , avec en plus le chikungunya qui rôde toujours, tout cela ne laisse rien présager de bon au retour des premières chaleurs sans compter que le moustique aedes egyptti a définitivement prouvé qu'il savait résister à la fraîcheur de l'hiver australe.
Plus que jamais la DASS ( la direction des affaires sanitaires et sociales ) rappellent donc les consignes de vigilance comme la lutte contre les gîtes larvaires et la protection individuelle avec des répulsifs.
Des épandages ont été réalisés dans le quartier latin et la zone du Mont-Coffyn pour tenter d'éviter le début d'une épidémie de type 2.
Le docteur Anne Pfannstiel était l'invité du journal de Radio NC 1ère.
cas de dengue de type 2
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