Le respect de l'Accord de Nouméa à la lettre mais Victorin Lurel a néanmoins de nouveau affirmé que l'Etat soutiendrait pleinement une démarche vers une nouvelle solution consensuelle. Le ministre des Outre-mer a aussi dévoilé les priorités du prochain Comité des Signataires.
Pas de surprise Victorin Lurel s'inscrit dans la droite ligne des propos tenus par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault en juillet dernier lors de sa visite en Nouvelle-Calédonie.
"Ce sera l' Accord de Nouméa et rien que l' Accord de Nouméa" a réaffirmé le ministre des Outre-mer, tout en insistant sur le fait que si les autres partenaires souhaitent changer de direction pour s'orienter vers une nouvelle solution consensuelle, l' Etat soutiendrait alors pleinement cette démarche.
Une autre sortie pour l' Accord de Nouméa est-elle possible ? Cette question sensible sera donc évoquée lors du prochain Comité des Signataires qui doit se réunir à Paris le 11 octobre prochain
Autre sujet de la réunion annuelle des partenaires de l' Accord de Nouméa, le bilan des compétences déjà transférées mais aussi une réflexion autour de l'article 27 de la loi organique qui comporte les transferts de compétences " optionnels" comme l' enseignement supérieur ou l' audiovisuel.
D'autres thématiques politiquement sensibles seront aussi examinées comme le gel du corps électoral, le dossier des compétences régaliennes ou encore la nécessité de définir rapidement une stratégie nickel commune et cohérente en Nouvelle-Calédonie.
Malgré l'importance de l' avenir statutaire de la Nouvelle-Calédonie, Victorin Lurel a néanmoins beaucoup insisté sur l'importance de ne pas s' éloigner des préoccupations quotidiennes des Calédoniens, en réaffirmant notamment que concernant les frais bancaires "les engagements du Premier ministre seront tenus".
Enfin bien sûr, Victorin Lurel a souhaité justifier le choix de l' Etat concernant la centrale à charbon de la SLN....
La " moins mauvaise solution", selon les experts chargés d' évaluer la situation par trois ministères.
Eramet obtient donc le soutien de l'Etat dans la construction de sa nouvelle centrale destinée à alimenter en énergie l' usine de Doniambo de la SLN.
Le charbon, un choix fortement critiqué par les écologistes et certains élus calédoniens.
Mais Victorin Lurel affirme que la province sud saura prendre ses responsabilités en imposant un cahier des charges de respect de l' environnement à la SLN.
"Ce sera l' Accord de Nouméa et rien que l' Accord de Nouméa" a réaffirmé le ministre des Outre-mer, tout en insistant sur le fait que si les autres partenaires souhaitent changer de direction pour s'orienter vers une nouvelle solution consensuelle, l' Etat soutiendrait alors pleinement cette démarche.
Une autre sortie pour l' Accord de Nouméa est-elle possible ? Cette question sensible sera donc évoquée lors du prochain Comité des Signataires qui doit se réunir à Paris le 11 octobre prochain
Autre sujet de la réunion annuelle des partenaires de l' Accord de Nouméa, le bilan des compétences déjà transférées mais aussi une réflexion autour de l'article 27 de la loi organique qui comporte les transferts de compétences " optionnels" comme l' enseignement supérieur ou l' audiovisuel.
D'autres thématiques politiquement sensibles seront aussi examinées comme le gel du corps électoral, le dossier des compétences régaliennes ou encore la nécessité de définir rapidement une stratégie nickel commune et cohérente en Nouvelle-Calédonie.
Malgré l'importance de l' avenir statutaire de la Nouvelle-Calédonie, Victorin Lurel a néanmoins beaucoup insisté sur l'importance de ne pas s' éloigner des préoccupations quotidiennes des Calédoniens, en réaffirmant notamment que concernant les frais bancaires "les engagements du Premier ministre seront tenus".
Enfin bien sûr, Victorin Lurel a souhaité justifier le choix de l' Etat concernant la centrale à charbon de la SLN....
La " moins mauvaise solution", selon les experts chargés d' évaluer la situation par trois ministères.
Eramet obtient donc le soutien de l'Etat dans la construction de sa nouvelle centrale destinée à alimenter en énergie l' usine de Doniambo de la SLN.
Le charbon, un choix fortement critiqué par les écologistes et certains élus calédoniens.
Mais Victorin Lurel affirme que la province sud saura prendre ses responsabilités en imposant un cahier des charges de respect de l' environnement à la SLN.