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L'Australie a octroyé vendredi 29 juillet une commande de 9 frégates pour 20 milliards de livres (22,6 milliards d'euros) au britannique BAE Systems, ce qui illustre l'ambitieux programme naval de Canberra et semblait rassurer Londres avant le Brexit.
BAE l'a emporté aux dépens de la société italienne Fincantieri et de l'espagnole Navantia SA.
Il s'agira des "bâtiments de guerre anti sous-marins les plus avancés du monde qui contribueront à la sécurité de l'Australie pendant des dizaines d'années à venir", s'est félicité le Premier ministre australien Macolm Turnbull.
Un des éléments clé de ce contrat aux yeux de Canberra est qu'une bonne partie de la construction doit être réalisée en Australie afin de favoriser les emplois dans la construction navale.
BAE l'a emporté aux dépens de la société italienne Fincantieri et de l'espagnole Navantia SA.
Il s'agira des "bâtiments de guerre anti sous-marins les plus avancés du monde qui contribueront à la sécurité de l'Australie pendant des dizaines d'années à venir", s'est félicité le Premier ministre australien Macolm Turnbull.
Ces frégates de classe Hunter pourront "conduire toute une série de missions de manière indépendante ou dans le cadre d'un groupe opérationnel, avec une portée et une endurance suffisantes pour opérer efficacement à travers la région Pacifique", a-t-il ajouté.
Un des éléments clé de ce contrat aux yeux de Canberra est qu'une bonne partie de la construction doit être réalisée en Australie afin de favoriser les emplois dans la construction navale.