Livret à découvrir ci-dessous :
«Une troisième voie»
Intitulé du document : «Construisons un consensus sur un avenir partagé pour notre pays». Calédonie ensemble se présente comme une troisième voie, qui prône le Non à l’indépendance mais aussi le dialogue pour construire l'avenir avec l’Etat autour de points précis.La capacité à se mettre d'accord sur un projet d'organisation post-Accord de Nouméa qui ne soit pas limité dans le temps. Un projet qui doit être validé par le référendum des Calédoniens et intégré dans la Constitution de la République comme l'était l'Accord de Nouméa. Un projet qui poursuit sur le chemin engagé depuis trente ans par la calédonisation des administrations régaliennes d'Etat, par la recherche de symboles identitaires calédoniens, par la conquête de souverainetés utiles pour être moins dépendant, et des transferts financiers de l'Etat, et des vicissitudes du nickel.
- Philippe Michel, secrétaire général de Calédonie ensemble
Auto-détermination
Sans oublier le droit à l’autodétermination, présenté comme un élément incontournable.Cet exercice du droit à l'autodétermination, maintenant qu'il est reconnu internationalement et juridiquement, on va l'inscrire dans la nouvelle organisation. Aujourd'hui, il n'y a pas de majorité pour. On maintient ce droit parce qu'il existe, c'est démocratique.
- Philippe Dunoyer, porte-parole de CE
Solution politique
Calédonie ensemble plaide pour une souveraineté partagée, à l’intérieur, entre les forces politiques, et à l’extérieur, avec la France. Le fait politique issu de la consultation doit permettre de bâtir une solution politique consensuelle.Le reportage d'Anne-Claire Lévêque :
Le projet de Calédonie ensemble
Et le reportage télé, par Dave Waheo-Hnasson et Carawiane Carawiane :