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En raison de la crise sanitaire, mais aussi des financements en baisse et des problématiques liées au retard des arrivées des jockeys en Calédonie, la saison hippique, qui devait reprendre ce samedi 16 mai, a été repoussée au mois d’août.
« Les propriétaires ont déjà commencé les entraînements, il y a deux mois, cela coûte très cher car il faut payer les jockeys et la nourriture des chevaux et donc plus on attend, plus c’est compliqué », a souligné Pascal Vittori, Président de la fédération des courses hippiques.
Des solutions doivent être trouvées rapidement pour assurer la pérennité de la filière, a indiqué son président. La filière hippique pèse près de deux milliards de chiffre d’affaires.
« Les propriétaires ont déjà commencé les entraînements, il y a deux mois, cela coûte très cher car il faut payer les jockeys et la nourriture des chevaux et donc plus on attend, plus c’est compliqué », a souligné Pascal Vittori, Président de la fédération des courses hippiques.
Des solutions doivent être trouvées rapidement pour assurer la pérennité de la filière, a indiqué son président. La filière hippique pèse près de deux milliards de chiffre d’affaires.
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