Permettre aux décideurs de disposer de données fiables sur la région Pacifique afin de prendre les bonnes décisions : c’est le but de la plateforme océanienne de données, baptisée « Pacific Data Hub » lancée par la CPS. Le site est également accessible au grand public.
La communauté du Pacifique Sud vient de lancer la plateforme océanienne de donnés, « Pacific Data Hub » en anglais. Un nouvel outil en ligne et ouvert à tous, qui intègre les données officielles fournis par les Etats membres du Pacifique ainsi que celles fournies par des organisations partenaires. Cette plateforme doit permettre aux gouvernements, aux bailleurs de fonds et aux acteurs de la société civile du Pacifique de disposer d’une source centralisée de données récentes et fiables.
« On va pouvoir y trouver des publications, des rapports de recherche, comme des données tabulaires ou des données géo-spatiales, indique Cameron Diver, directeur général adjoint de la CPS. On va y trouver une carte du Pacifique qui permet de cliquer sur un pays pour trouver des données au niveau d’une commune d’un district ou du pays entier. Et l’on va trouver une bibliothèque de micro-données qui permettent de trouver des données très fines. »
C’est la Nouvelle-Zélande qui est le principal financeur de ce projet à travers une subvention sur 4 ans de 6,5 millions de dollars néo-zélandais.
Le « Pacific Data Hub » se veut un site de réference pour les décideurs : « Aujourd’hui, on se rend bien compte que si l’on veut prendre des décisions, informer au niveau d’un pays, il faut des données. C’est une demande forte au niveau des pays de la région, mais aussi niveau international », poursuit Cameron Diver.
À ce jour, la plateforme de données océaniennes comprend cinq fonctionnalités principales :
Différents niveaux de données
« On va pouvoir y trouver des publications, des rapports de recherche, comme des données tabulaires ou des données géo-spatiales, indique Cameron Diver, directeur général adjoint de la CPS. On va y trouver une carte du Pacifique qui permet de cliquer sur un pays pour trouver des données au niveau d’une commune d’un district ou du pays entier. Et l’on va trouver une bibliothèque de micro-données qui permettent de trouver des données très fines. »C’est la Nouvelle-Zélande qui est le principal financeur de ce projet à travers une subvention sur 4 ans de 6,5 millions de dollars néo-zélandais.
Le « Pacific Data Hub » se veut un site de réference pour les décideurs : « Aujourd’hui, on se rend bien compte que si l’on veut prendre des décisions, informer au niveau d’un pays, il faut des données. C’est une demande forte au niveau des pays de la région, mais aussi niveau international », poursuit Cameron Diver.
À ce jour, la plateforme de données océaniennes comprend cinq fonctionnalités principales :
- Un catalogue de données, qui est la plus grande banque de données centralisée de la région
- PacificMap, une interface de cartographie permettant de visualiser les données spatiales de 22 pays océaniens
- le tableau de bord des ODD, qui contient des données sur les 132 indicateurs régionaux de développement durable sélectionnés par la région
- PDH.stat, un explorateur de données portant sur les indicateurs de développement et les statistiques officielles
- Une bibliothèque de microdonnées, c’est-à-dire une passerelle d’accès aux enquêtes et recensements de la région, ainsi qu’aux documents et microdonnées émanant des administrations du Pacifique
Cameron Diver, directeur adjoint de la Communauté du Pacifique, au micro de Medriko Peteisi