Au lendemain de l’annonce du retrait de son partenaire Korea Zinc, la Sofinor annonce avoir trouvé un nouvel industriel et entend donc déposer rapidement une nouvelle offre. Entretien avec Ulrich Reber, son directeur de projet.
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NC la 1ère : Korea Zinc a annoncé se retirer du projet de rachat de l’usine du Sud. Que compte faire la Sofinor ?
Ulrich Reber : Parce que l’on portait un projet très solide qui répondait à tous les critères qui étaient demandés par Vale pour la reprise de l’usine, nous avons pris la décision de reconstituer une offre, toujours avec les mêmes termes mais avec un nouvel industriel.
Donc, on serait sur un actionnariat calédonien institutionnel à hauteur de 56%, donc les trois provinces, et un industriel à hauteur de 44%. Un industriel expérimenté en hydrométallurgie et qui aura toute la compétence pour sauver les 3 000 emplois qui sont en jeu.
Qui est ce partenaire ?
Il est difficile d’en dire plus à ce stade, chat échaudé craint l’eau froide. On souhaite donc rester confidentiel sur l’industriel. Mails il faut savoir que c’est la Sofinor, en tant qu’opérateur industriel, qui ira chercher cet industriel et qui ensuite re-proposera comme dans le projet que nous portions un 56% calédonien et un industriel compétent. Parce qu’on le dit et on le redit, le projet de l’usine du Sud est un projet technique. Il est indispensable de disposer d’un industriel compétent et expérimenté en hydrométallurgie.
A quel stade en êtes-vous de ce projet ?
On a accusé le coup hier. Mais là dès à présent, nous sommes en train d’enclencher ce plan B et nous nous inscrivons dans le calendrier qui est souhaité par Vale, c’est-à-dire une possibilité de retrait au 31 décembre. Donc notre objectif, c’est de pouvoir présenter une offre à Vale dans les jours à venir.
Ulrich Reber : Parce que l’on portait un projet très solide qui répondait à tous les critères qui étaient demandés par Vale pour la reprise de l’usine, nous avons pris la décision de reconstituer une offre, toujours avec les mêmes termes mais avec un nouvel industriel.
Donc, on serait sur un actionnariat calédonien institutionnel à hauteur de 56%, donc les trois provinces, et un industriel à hauteur de 44%. Un industriel expérimenté en hydrométallurgie et qui aura toute la compétence pour sauver les 3 000 emplois qui sont en jeu.
Un industriel expérimenté en hydrométallurgie et qui aura toute la compétence pour sauver les 3 000 emplois qui sont en jeu.
Qui est ce partenaire ?
Il est difficile d’en dire plus à ce stade, chat échaudé craint l’eau froide. On souhaite donc rester confidentiel sur l’industriel. Mails il faut savoir que c’est la Sofinor, en tant qu’opérateur industriel, qui ira chercher cet industriel et qui ensuite re-proposera comme dans le projet que nous portions un 56% calédonien et un industriel compétent. Parce qu’on le dit et on le redit, le projet de l’usine du Sud est un projet technique. Il est indispensable de disposer d’un industriel compétent et expérimenté en hydrométallurgie.
Notre objectif, c’est de pouvoir présenter une offre à Vale dans les jours à venir.
A quel stade en êtes-vous de ce projet ?
On a accusé le coup hier. Mais là dès à présent, nous sommes en train d’enclencher ce plan B et nous nous inscrivons dans le calendrier qui est souhaité par Vale, c’est-à-dire une possibilité de retrait au 31 décembre. Donc notre objectif, c’est de pouvoir présenter une offre à Vale dans les jours à venir.
Ulrich Reber directeur de projet de la Sofinor