Le gouvernement néo-zélandais a accusé ce mardi un groupe "soutenu par l'État" chinois d'avoir piraté son parlement en 2021. De son côté, la Chine a rejeté cette accusation.
Une agence néo-zélandaise de cybersécurité a établi un lien entre un groupe "soutenu par l'État" chinois et une cyberattaque contre des services du parlement kiwi en 2021, ce mardi 26 mars. Dans un communiqué, la ministre chargée de la protection des communications gouvernementales, Judith Collins, indique que l'attaque a été repoussée et le groupe mis hors d'état de nuire.
"Vif mécontentement" de la Chine
La Chine réfute ces propos, dénonçant des accusations "sans fondement", via un communiqué."Nous rejetons catégoriquement ces accusations sans fondement et irresponsables", a indiqué l'ambassade de Chine à Wellington dans un communiqué, faisant part de son "vif mécontentement".