Les maréchaux-ferrants du pays sont en formation cette semaine. Une formation organisée dans le cadre des journées de la maréchalerie.
Le but : perfectionner leur savoir-faire avec l’aide d’un professionnel venu de la Métropole, Antoine Corona.
Le but : perfectionner leur savoir-faire avec l’aide d’un professionnel venu de la Métropole, Antoine Corona.
•
Pas de pied, pas de cheval, dit l'adage.
Pour que les montures sont ferrées correctement, un homme est indispensable, le maréchal-ferrant.
La Nouvelle Calédonie en compte dix, dont deux sont des femmes.
Pour qu'il puissent se perfectionner, les « Journées de la Maréchalerie " proposent une formation théorique et pratique de trois jours. Elle est dispensée auprès de cinq Calédoniens par un professionnel venu de la Métropole, Antoine Corona, maréchal-ferrant depuis une trentaine d’année. Il travaille essentiellement sur des chevaux de sport.
« La formation nous permet d’acquérir de nouvelles techniques » explique Laurent Deruy, président de l’association des Maréchaux Ferrants de Nouvelle Calédonie, « et aussi, et c’est le plus important, d’avoir un oeil extérieur sur notre travail, parce que nous, on finit peut être par trouver que c’est toujours très bien, alors que quelqu’un qui a un oeil extérieur va nous décrire plein de défauts, de choses à corriger, ou de nouvelles techniques à intégrer à notre travail ».
A Dumbéa, le reportage de Nadine Goapana et Cédric Michaut.
Pour que les montures sont ferrées correctement, un homme est indispensable, le maréchal-ferrant.
La Nouvelle Calédonie en compte dix, dont deux sont des femmes.
Pour qu'il puissent se perfectionner, les « Journées de la Maréchalerie " proposent une formation théorique et pratique de trois jours. Elle est dispensée auprès de cinq Calédoniens par un professionnel venu de la Métropole, Antoine Corona, maréchal-ferrant depuis une trentaine d’année. Il travaille essentiellement sur des chevaux de sport.
« La formation nous permet d’acquérir de nouvelles techniques » explique Laurent Deruy, président de l’association des Maréchaux Ferrants de Nouvelle Calédonie, « et aussi, et c’est le plus important, d’avoir un oeil extérieur sur notre travail, parce que nous, on finit peut être par trouver que c’est toujours très bien, alors que quelqu’un qui a un oeil extérieur va nous décrire plein de défauts, de choses à corriger, ou de nouvelles techniques à intégrer à notre travail ».
A Dumbéa, le reportage de Nadine Goapana et Cédric Michaut.