Le miel et les abeilles étaient en fête ce dimanche au Parc forestier. Un rendez-vous gourmand qui a attiré plusieurs centaines de personnes. Sur les étals, le précieux nectar mais aussi de nombreux produits dérivés de la ruche aux vertus thérapeutiques.
•
Du pollen pour les uns, du vinaigre de miel, de la cire, ou de la gelée royale pour les autres… Autant de déclinaisons venant de la ruche.
Riche en oligo-éléments, antioxydant, antibactérien, detox et même cicatrisant, voilà le miel et ses dérivés aux multiples vertus. Chaque apiculteur fait ses propres mélanges.
Chez Léa Kerzreho par exemple, on mise sur l’élixir. « On va avoir quatre produits principaux de la ruche : du miel en base, après de la cire d’abeille, de la propolis, et du pain d’abeille. Le pain d’abeille, c’est du pollen qui a été récolté par les abeilles et qui a été lacto-fermenté par elles pour pouvoir le conserver plus longtemps dans la ruche » explique l’apicultrice.
« C’est un produit qui est rare et qui va être cher parce qu’enfant ça demande beaucoup de travail » explique André Saligné, apiculteur. « C’est un travail hyper-méticuleux et qui va se reproduire tous les trois jours. On doit préparer des ruches, on va en rendre une partie qui est orpheline pour que l’autre partie veuille élever des reines. Et là, on va introduire tous les trois jours des petites larves qu’il faut prélever. Elles font à peu près un millimètre de long sur un demi-millimètre de large. Il faut aller les prélever sans les blesser. On va introduire 100, 120 larves comme ça dans une ruche ».
Source de vitalité, cet élixir est produit en très petite quantité, et se consomme en cure, 10 à 20g par prise, pas plus. Mais comme pour beaucoup de produit rare, la gelée royale est touchée par la contrefaçon. En Calédonie, elle est notamment importée de Chine.
Le reportage de Sheïma Riahi et Carawiane Carawiane.
Le miel calédonien va bien comparé à la situation dans d’autres pays. Même si la récolte est en baisse de 20% par rapport à l’an passé et ce à cause de la sécheresse, le miel calédonien ne baisse pas en qualité.
Le reportage de Medriko Peteisi
Riche en oligo-éléments, antioxydant, antibactérien, detox et même cicatrisant, voilà le miel et ses dérivés aux multiples vertus. Chaque apiculteur fait ses propres mélanges.
Chez Léa Kerzreho par exemple, on mise sur l’élixir. « On va avoir quatre produits principaux de la ruche : du miel en base, après de la cire d’abeille, de la propolis, et du pain d’abeille. Le pain d’abeille, c’est du pollen qui a été récolté par les abeilles et qui a été lacto-fermenté par elles pour pouvoir le conserver plus longtemps dans la ruche » explique l’apicultrice.
La gelée royale, rare et chère
Sur un autre stand, on découvre sur que le précieux nectar peut s’écouler jusqu’à 400 000 francs CFP le kilo. Il s’agit de la gelée royale, conservée au frais entre 2 et 5 degrés. Cette apicultrice est d’ailleurs la seule à en produire en Calédonie.« C’est un produit qui est rare et qui va être cher parce qu’enfant ça demande beaucoup de travail » explique André Saligné, apiculteur. « C’est un travail hyper-méticuleux et qui va se reproduire tous les trois jours. On doit préparer des ruches, on va en rendre une partie qui est orpheline pour que l’autre partie veuille élever des reines. Et là, on va introduire tous les trois jours des petites larves qu’il faut prélever. Elles font à peu près un millimètre de long sur un demi-millimètre de large. Il faut aller les prélever sans les blesser. On va introduire 100, 120 larves comme ça dans une ruche ».
Source de vitalité, cet élixir est produit en très petite quantité, et se consomme en cure, 10 à 20g par prise, pas plus. Mais comme pour beaucoup de produit rare, la gelée royale est touchée par la contrefaçon. En Calédonie, elle est notamment importée de Chine.
Le reportage de Sheïma Riahi et Carawiane Carawiane.
Le miel calédonien va bien comparé à la situation dans d’autres pays. Même si la récolte est en baisse de 20% par rapport à l’an passé et ce à cause de la sécheresse, le miel calédonien ne baisse pas en qualité.
Le reportage de Medriko Peteisi
Reportage Miel