Jacinda Ardern a convoqué mardi des élections législatives pour septembre. Un scrutin qui devrait lui permettre notamment d’éprouver sa côte de popularité très forte à l’étranger.
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La dirigeante de centre-gauche, qui compte briguer un second mandat de trois ans, a annoncé que les électeurs étaient appelés à voter le 19 septembre. Soit deux mois avant la date butoir fixée pour l'organisation d'un scrutin législatif. « Je demanderai à tous les Néo-zélandais de continuer à soutenir mon action et la direction actuelle de mon gouvernement qui est fondée sur la stabilité, une économie forte et les défis à long terme auxquels la Nouvelle-Zélande est confrontée », a expliqué Mme Ardern, 39 ans.
Au cours de son premier mandat, elle est devenue mère et a acquis une renommée internationale notamment en raison de sa gestion de l'attaque contre deux mosquées de Christchurch en mars 2019 (51 morts).
Et de l'éruption en décembre du volcan de White Island (20 morts).
Sur le plan intérieur, les sondages montrent une baisse de sa cote de popularité. Le conservateur Simon Bridges, chef du Parti national dans l'opposition, s'en est pris en particulier à Jacinda Ardern, au sujet d'un conflit territorial avec des Maoris et de son programme de rachat d'armes à feu après la fusillade de Christchurch.
La première ministre est également sous le feu des critiques concernant kiwiBuild, un programme de construction de logements. Il prévoit de permettre l'accès à la propriété à prix plus abordables avec la construction de 100.000 maisons. Jusqu'à présent, il n'a pas répondu aux attentes. L'économie du pays souffre d'une faible croissance alors que le coût de la vie a augmenté.
Faible croissance
Au cours de son premier mandat, elle est devenue mère et a acquis une renommée internationale notamment en raison de sa gestion de l'attaque contre deux mosquées de Christchurch en mars 2019 (51 morts).
Et de l'éruption en décembre du volcan de White Island (20 morts).
Sur le plan intérieur, les sondages montrent une baisse de sa cote de popularité. Le conservateur Simon Bridges, chef du Parti national dans l'opposition, s'en est pris en particulier à Jacinda Ardern, au sujet d'un conflit territorial avec des Maoris et de son programme de rachat d'armes à feu après la fusillade de Christchurch.
La première ministre est également sous le feu des critiques concernant kiwiBuild, un programme de construction de logements. Il prévoit de permettre l'accès à la propriété à prix plus abordables avec la construction de 100.000 maisons. Jusqu'à présent, il n'a pas répondu aux attentes. L'économie du pays souffre d'une faible croissance alors que le coût de la vie a augmenté.