La crise sanitaire a contrarié quelque peu les ambitions de la Fête de la musique. Un événement célébré malgré tout, ce dimanche, en Calédonie. Tour d’horizon dans l’agglomération de Nouméa.
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La fête de la musique a démarré en douceur et sous le soleil, ce dimanche à Nouméa. Le collectif 442 Hz et l’orchestre symphonique du conservatoire de musique et de danse donnent le « la » au parc urbain de Sainte-Marie.
Des notes de musiques classiques s’échappent des instruments à vents… Pour le plus grand bonheur des petits et des grands. « C’est mon frère qui a fait du saxophone », s’enthousiasme la petite Elsa.
Le reportage radio d’Alix Madec au musée maritime
Une dizaine d’artistes, du hip-hop au reggae en passant par le rap, se succède sur la scène pour faire partager au public, leur passion. « Je viens de France, donc c’est un peu une obligation de la fêter ! », glisse Magalie, une spectatrice. Pour Jordan, « cette fête de la musique « marque la fin du déconfinement, ça permet de partager un petit verre ou des paroles autour d’un bon concert de musique ».
En 2020, pas de gros rassemblement pour la fête de la musique mais plutôt des rencontres intimistes, qui ont su trouver leur public.
Le reportage en images de Lizzie Carboni et Claude Lindor
Des notes de musiques classiques s’échappent des instruments à vents… Pour le plus grand bonheur des petits et des grands. « C’est mon frère qui a fait du saxophone », s’enthousiasme la petite Elsa.
Des chants dans toutes les langues
Autre lieu, autre ambiance : au musée maritime de la ville, une cinquantaine de personnes se laisse bercer par les voix de la chorale Vocale. Des chants en français mais aussi en congolais, en drehu et en nengone pour célébrer la mer en musique. « Il y a des langues qui donnent l’impression que les gens chantent, rien qu’en les écoutant parler. C’est important pour des Européens, estime Honoré Bearune, chef de coeur de la chorale Vocale. Les langues kanaks sont à la portée de tous. Tout le monde peut les chanter, voire les parler. »Le reportage radio d’Alix Madec au musée maritime
Musée maritime
A l'ombre du chapitô
A Boulari, c’est à l’ombre du Chapitô solidaire que les amateurs de musique se retrouvent.Une dizaine d’artistes, du hip-hop au reggae en passant par le rap, se succède sur la scène pour faire partager au public, leur passion. « Je viens de France, donc c’est un peu une obligation de la fêter ! », glisse Magalie, une spectatrice. Pour Jordan, « cette fête de la musique « marque la fin du déconfinement, ça permet de partager un petit verre ou des paroles autour d’un bon concert de musique ».
En 2020, pas de gros rassemblement pour la fête de la musique mais plutôt des rencontres intimistes, qui ont su trouver leur public.
Le reportage en images de Lizzie Carboni et Claude Lindor