Une dizaine de véhicules équipés de porte-voix a circulé au ralenti dans les rues de la capitale et le long des baies, ce samedi, en milieu de journée. Non déclarée et non autorisée par le haussariat, cette opération escargot fait l’objet d’une procédure judiciaire pour en identifier les auteurs, indique la police nationale qui a relevé plusieurs infractions pendant cette manifestation.
Par ailleurs, l’Avenir en Confiance n’a pas tardé à réagir par voix de communiqué, déclarant que ces voitures diffusaient « des propos xénophobes et racistes à l’encontre de la France, appelant par exemple la population calédonienne à la rébellion contre la propriété privée et l’incitant à défier l’ordre républicain. » Le mouvement de Sonia Backès juge « de tels agissements (..) absolument intolérables dans un Etat de droit » et « s’interroge sur leurs motivations politiques réelles ». Ses responsables ont interpellé le haussaire « pour lui demander avec la plus grande fermeté de faire cesser ces agissements dans les plus brefs délais ».
Par ailleurs, l’Avenir en Confiance n’a pas tardé à réagir par voix de communiqué, déclarant que ces voitures diffusaient « des propos xénophobes et racistes à l’encontre de la France, appelant par exemple la population calédonienne à la rébellion contre la propriété privée et l’incitant à défier l’ordre républicain. » Le mouvement de Sonia Backès juge « de tels agissements (..) absolument intolérables dans un Etat de droit » et « s’interroge sur leurs motivations politiques réelles ». Ses responsables ont interpellé le haussaire « pour lui demander avec la plus grande fermeté de faire cesser ces agissements dans les plus brefs délais ».