Les gérants du gîte Néwédjïé, se mobilisent devant l’hôtel Tiéti. Ils entendent dénoncer les tarifs trop bas pratiqués par les Grands Hôtels de Nouvelle-Calédonie et qui selon eux menacent leur survie.
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Les petites structures touristiques du Nord connaissent des baisses de fréquentation. Les gîtes et petits hôtels ont de moins en moins de clients. C’est la conséquence selon eux des tarifs bas appliqués par les Grands Hôtels de Nouvelle-Calédonie depuis quelques mois. Une pratique de « prix prédateurs » selon les gérants des petites structures qui sont inquiets.
Les petites structures lancent un appel au secours pour leur survie. Comme Kathy Collado, co-gérante du Gîte Newejïé de Poindimié, qui a décidé de se mobiliser devant l’hôtel Tiéti.
Le gite Newejïé a commencé à ressentir les conséquences des baisses des tarifs des grands hôtels depuis avril dernier.
Il n’est pas le seul à Poindimié. L’hôtel de la plage également connaît une baisse de fréquentation depuis juin. Mais il a l’avantage d’avoir la restauration. L’hôtel a mis en place une nouvelle carte. Son chef de cuisine est Jason Florian.
D’autres structures qui connaissent la même situation, s’organisent pour compenser les pertes, mais « ça ne suffit pas » disent-ils.
A Hienghène aussi, les gîtes que nous avons contactés ont moins de réservations, sauf lorsque les grands hôtels sont pleins. Les gîtes et petits hôtels ont écrit un courrier commun demandant à être reçus par la province Nord et les Grands Hôtels. Un courrier resté sans suite pour l’instant.
Les Grands Hôtels de Nouvelle Calédonie, une filiale de Nord Avenir, indiquent de leur côté ne pas vendre à perte et qu’ils s’adaptent aux réalités du marché.
Laurent Chatenay, directeur adjoint de Nord Avenir et directeur général des Grands Hôtels de Nouvelle-Calédonie, au micro de Clarisse Watué.
Les petites structures lancent un appel au secours pour leur survie. Comme Kathy Collado, co-gérante du Gîte Newejïé de Poindimié, qui a décidé de se mobiliser devant l’hôtel Tiéti.
Le gite Newejïé a commencé à ressentir les conséquences des baisses des tarifs des grands hôtels depuis avril dernier.
Il n’est pas le seul à Poindimié. L’hôtel de la plage également connaît une baisse de fréquentation depuis juin. Mais il a l’avantage d’avoir la restauration. L’hôtel a mis en place une nouvelle carte. Son chef de cuisine est Jason Florian.
D’autres structures qui connaissent la même situation, s’organisent pour compenser les pertes, mais « ça ne suffit pas » disent-ils.
A Hienghène aussi, les gîtes que nous avons contactés ont moins de réservations, sauf lorsque les grands hôtels sont pleins. Les gîtes et petits hôtels ont écrit un courrier commun demandant à être reçus par la province Nord et les Grands Hôtels. Un courrier resté sans suite pour l’instant.
Les Grands Hôtels de Nouvelle Calédonie, une filiale de Nord Avenir, indiquent de leur côté ne pas vendre à perte et qu’ils s’adaptent aux réalités du marché.
Laurent Chatenay, directeur adjoint de Nord Avenir et directeur général des Grands Hôtels de Nouvelle-Calédonie, au micro de Clarisse Watué.