Depuis hier, 70 exposants sont installés dans la salle polyvalente du stade de Tieti. Ecoles, organismes de formation : pendant deux jours, ils répondent aux questions des quelques 2000 visiteurs qui arpentent les allées du salon chaque année depuis 13 ans.
Des publics plus difficiles à atteindre
Mais ces dernières années, les organisateurs constatent un changement dans la fréquentation. Si les collégiens, lycéens et étudiants sont toujours au rendez-vous, ceux sortis du circuit scolaire désertent le salon.
La mission locale d’insertion des jeunes (MIJ) en partenariat avec la province Nord organisme donc des mini forum de l’insertion destiné aux demandeurs d’emploi.
Le salon s’est également mis au numérique depuis l’an dernier : « Il y a 70 exposants physiques, mais aussi 70 exposants virtuels. Le salon physique c’est deux jours et le salon virtuel c’est 4 jours Il y a un vrai besoin », explique Thierry Dombrowsky, directeur de la Direction de l'enseignement, de la formation, de l'insertion et des Jeunes de la province Nord.
Thierry Dombrowsky au micro de Marguerite Poigoune
Le reportage de Camille Mosnier et Brice Bachon :
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