Scal’air a publié sa première enquête d’opinion. Une étude avec trois objectifs : identifier l’intérêt et le niveau de sensibilisation de la population sur la qualité de l’air, évaluer l’image de Scal’Air et sa pertinence, et évaluer les attentes de la population.
Jeannette Peteisi et Caroline Moureaux •
Depuis sa création il y a quatorze ans, c’est la première enquête d’opinion que Scal’air réalise.
81% des sondés pensent que Scal’air donne des informations claires et compréhensibles. 72% disent que ses mesures sont fiables et crédibles. Mais ils réclament des améliorations.
La pollution de l’air, troisième préoccupation environnementale
« Dès qu’on dépasse un seuil, d’abord de recommandation et d’information qui est pour les personnes sensibles, on va prévenir tous les établissements relais des ces personnes, les enfants, les personnes âgées, ou les asthmatiques. Après, on a le seuil d’alerte, et là, on envoie un SMS auprès des radios et qui va diffuser l’information auprès des habitants de Nouméa. Çà arrive régulièrement qu’on dépasse le seuil d’information, le seuil d’alerte, c’est plus rare, mais çà peut arriver. »
A noter que c’est le bulletin diffusé sur NCla1ère qui dispose du taux de pénétration le plus important puisque près de huit sondés sur dix l’ont déjà vu.
Découvrez ci-dessous l’étude réalisée entre le 21 septembre et le 25 octobre 2018 auprès d’un échantillon de 596 personnes représentatif de la population du Grand Nouméa.