Ils sont venus chercher des souvenirs d’enfance, de vacances, d’un morceau de vie passé en Polynésie. Ou juste l’évasion. En mettant un pied place des Cocotiers, ce vendredi encore, les visiteurs se retrouveront télétransportés en Polynésie. Musique, danse, vêtements, nourriture, artisanat. Tout y est.
Ambiance avec Marguerite Poigoune :
Plusieurs dizaines d’exposants présentent leur culture et leur savoir-faire. Sur les étals, des chapeaux et des paniers tressés, des robes, des ukulélés. Et des spécialités. Salade tahitienne. Gâteau tahitien, un moelleux au chocolat avec une meringue au citron et au coco râpé. Fafaru, du poisson mariné dans l’eau de mer, assaisonné avec un condiment à base de coco fermenté. Un concours du plus gros mangeur de fafaru est même programmé à 13 heures.
Une grande bringue pour terminer
Il y aura aussi des initiations au tamure et aux percussions, dans la foulée. Des démonstrations de confection de tapa, de bouquets de monoï, de roses en pandanus, etc. Des conférences sur l’histoire des Polynésiens de Nouvelle-Calédonie, à 13 heures et 15 heures, à l’hôtel de ville. Une exposition de robes traditionnelles, dont certaines ont plus de 50 ans, de 10 heures à 17h30 à l’hôtel de ville. Et une exposition de photos retraçant le parcours de familles originaires de Polynésie arrivées dans les années 50 pour participer à la modernisation du territoire. Les clichés resteront visibles sur les grilles de l’hôtel de ville jusqu’au 31 octobre.
La fête se terminera vers 20 heures par une grande bringue.