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«Dictature au Ch. Royal», voilà l’un des messages qui accueillaient aujourd’hui les clients du complexe quatre étoiles Château Royal. L’accès à l’hôtel de Nouméa est parsemé de banderoles qui s’affichent jusqu’au bord de la promenade Roger-Laroque. L’expression d’un malaise: l’établissement, qui reste ouvert, connaît depuis trois jours un mouvement de grève initié par l’Usoenc. Il concernerait selon le syndicat une trentaine de personnes, soit 70% du personnel. Des grévistes qui dénoncent notamment des abus de pouvoir et entendent poursuivre la mobilisation demain, faute de dialogue avec la direction.