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Une cinquantaine de personnes se sont rassemblées ce samedi matin, à Nouméa, sur le parking de la Moselle, pour dénoncer le projet de contrôle technique obligatoire des véhicules légers et demander son abrogation. Une mesure portée par le gouvernement pour améliorer la sécurité routière, mais qualifiée de «racket» par le collectif qui craint des répercussions sur les foyers les plus modestes.