Le vingtième Salon de l’étudiant cible la bonne orientation

Des questions à poser sur les études supérieures et les formations en Nouvelle-Calédonie ? Direction le campus de Nouville, qui accueille ces vendredi et samedi le vingtième Salon de l'étudiant. Avec un accent mis sur l'importance d'une bonne orientation de base.
Il est ouvert aujourd'hui et demain, de 9 heures à 17 heures, sur le campus universitaire de Nouville, et il bruisse d'animation : le Salon de l'étudiant revient comme chaque année, à l'intention particulière des élèves de terminale et des jeunes en quête de formation (l'annuaire des formations présentées peut être consulté ici).
 
A propos du BTS gestion de la PME proposé au lycée Lapérouse.
 

Qui participe ?

Sur place, un large espace dédié à l'UNC, de nombreux lycées publics et privés venus présenter leurs filières post-bac, le programme Cadres avenir, les provinces et l'information sur les aides qu'elles peuvent apporter, mais aussi la Chambre de commerce et d'industrie, le Cnam, l'Institut de formation des maîtres, l'IFPSS, etc...
 
 

Cinq villages

Les participants sont répartis en villages : de l’orientation, de la formation, de l’international et la mobilité, de la vie étudiante et enfin des associations. Avec une attention particulière accordée à l'orientation initiale, et au taux d’échec des étudiants en première année. 
 
 

Taux d'abandon élevés en première année

«L’orientation, c’est primordial pour bien réussir les études supérieures», martèle Sylvian Raffard-Artigue, directeur de la communication à l’UNC. «Il y a deux gros critères: faire une bonne orientation et s’investir dans ses études. En première année, c’est compliqué, les taux de réussite sont assez faibles et les taux d’abandon sont élevés.» Ils vont de 40 à 50% des effectifs. «Beaucoup de jeunes décrochent, reprend-il en insistant: «Le choix de l’orientation initiale est important.»
 

Le reportage radio de Jeannette Peteisi :

Salon de l'étudiant 2019, reportage radio au premier jour


Le reportage télé de Natacha Cognard et Christian Favennec :
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