A Yaté, la tribu de Goro accueillait ce dimanche des visiteurs pour leur faire découvrir la pêche à pieds de coquillages. Ils ont profité de la marée basse sur le platier pour ramasser de nombreuses espèces.
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Le jour se lève sur Yaté en ce dimanche matin. Entre la presqu’île de Kamouérin et l’ilôt Guié, le platier de Goro apparaît à marée basse.
Des visiteurs vont découvrir l’endroit. Accompagnés par un professionnel du tourisme et par l’association des jeunes de la tribu, ces personnes vont apprendre à pêcher à pieds des coquillages.
Une première pour cette anglo-saxonne et sa famille.
« En tant que famille, c’est l’occasion de découvrir ce beau pays et de faire découvrir une autre culture, la nature, et un autre type de pêche » explique Pauline Welby.
« On a appris avec les mamies » confie-t-il. « C’est bon pour les grisettes, les palourdes… Après, les sauteurs et les araignées, ils ne sont pas dans la terre, ils marchent sur le platier ».
Pêcher des coquillages est un jeu d’enfant pour Louisa.
Après une heure de pêche : palourdes, grisettes, araignées de mer, moules et huîtres sont cuites au feu de bois. Et ce pour le plus grand plaisir des gourmets.
Le reportage de Natacha Lassauce-Cognard et Louis Perin
Des visiteurs vont découvrir l’endroit. Accompagnés par un professionnel du tourisme et par l’association des jeunes de la tribu, ces personnes vont apprendre à pêcher à pieds des coquillages.
Une première pour cette anglo-saxonne et sa famille.
« En tant que famille, c’est l’occasion de découvrir ce beau pays et de faire découvrir une autre culture, la nature, et un autre type de pêche » explique Pauline Welby.
Sentir les coquillages avec ses pieds
Cachés dans les algues, les coquillages sont parfois difficiles à trouver. Christian Vama, lui, a une technique toute particulière. Pieds-nus, il arrive à sentir les grisettes et les palourdes.« On a appris avec les mamies » confie-t-il. « C’est bon pour les grisettes, les palourdes… Après, les sauteurs et les araignées, ils ne sont pas dans la terre, ils marchent sur le platier ».
Pêcher des coquillages est un jeu d’enfant pour Louisa.
Après la pêche, la dégustation
« Le fait de revenir ici, c’est que du bonheur, c’est magique » explique de son côté Micheline, une visiteuse. « Il faut protéger tout ce site ».Après une heure de pêche : palourdes, grisettes, araignées de mer, moules et huîtres sont cuites au feu de bois. Et ce pour le plus grand plaisir des gourmets.
Le reportage de Natacha Lassauce-Cognard et Louis Perin