Après six mois en Angleterre, Rachèle Moglia ne se voyait pas repartir loin de sa famille. L'attachement à son territoire est trop grand. Mais, sa licence d'anglais obtenue à l'université de Nouvelle-Calédonie, elle voulait enchaîner avec un master métiers de l'enseignement de l'éducation et de la formation pour devenir professeure d'anglais. Elle a donc cherché une université qui accepte les étudiants en distanciel. Là voilà inscrite à l'université catholique de Toulouse, où elle vient de valider sa première année depuis Boulouparis.
Son témoignage au micro de Lizzie Carboni :
Un choix qui demande beaucoup d'assiduité. Le soir, elle enchaîne les cours jusqu'au milieu de la nuit, en visio. La journée, elle dort et elle révise. Toute une organisation pas toujours simple à concilier avec la vie sociale mais la jeune femme préfère encore vivre en décalé que de "se mettre la pression" à l'idée de vivre à des milliers de kilomètres de chez elle.