Vale veut faire les choses correctement en Nouvelle-Calédonie. Le groupe minier brésilien entend montrer qu’il a changé et qu’il se préoccupe de l’environnement et des hommes. Il laissera un gros chèque, en guise d’au revoir à l'usine du Sud.
Après la direction de Vale en Nouvelle-Calédonie, et celle de New Century le candidat australien à la reprise du site industriel de Goro Nickel (VNC), c’est au tour de la direction générale de Vale au Brésil de communiquer sur son site internet:
"Vale est entré en exclusivité pour négocier la vente de Vale New Caledonia et informe que l'exclusivité conclue par Vale Canada Limited (VCL) avec New Century Resources Limited (NCZ) pour négocier le la cession de sa participation dans Vale Nouvelle-Calédonie (VNC) a été prolongée d'un commun accord pour 45 jours, permettant de finaliser la négociation avec New Century (NCZ) et d’aboutir à la transaction".
Dans sa forme actuelle non contraignante, souligne le communiqué de Vale au Brésil, "la structure de financement comprend environ 900 millions de dollars américains de contributions des parties, dont environ 500 millions de dollars américains apportés par Vale-Canada (VCL), le renouvellement d'une facilité existante de 200 millions d'euros de l'État français et 200 millions de dollars américains provenant de New Century (NCZ) au moyen d'une facilité de crédit, d'un financement de prélèvement et d'un investissement stratégique pour VNC par des tiers (les actionnaires de la Team Australia, dont le géant bancaire Macquarie ndlr).
"Vale est entré en exclusivité pour négocier la vente de Vale New Caledonia et informe que l'exclusivité conclue par Vale Canada Limited (VCL) avec New Century Resources Limited (NCZ) pour négocier le la cession de sa participation dans Vale Nouvelle-Calédonie (VNC) a été prolongée d'un commun accord pour 45 jours, permettant de finaliser la négociation avec New Century (NCZ) et d’aboutir à la transaction".
Pourquoi Vale-Canada ?
La branche nickel de la multinationale brésilienne à son siège à Toronto, d’où elle dirige les activités mondiales du groupe pour cette matière première industrielle. Cette situation fait suite aux accords passés avec le gouvernement d'Ottawa au moment du rachat de la compagnie minière canadienne Inco, qui est à l'origine du projet de l'usine du Sud en Nouvelle-Calédonie. Inco a été absorbé par Vale en octobre 2006.Dans sa forme actuelle non contraignante, souligne le communiqué de Vale au Brésil, "la structure de financement comprend environ 900 millions de dollars américains de contributions des parties, dont environ 500 millions de dollars américains apportés par Vale-Canada (VCL), le renouvellement d'une facilité existante de 200 millions d'euros de l'État français et 200 millions de dollars américains provenant de New Century (NCZ) au moyen d'une facilité de crédit, d'un financement de prélèvement et d'un investissement stratégique pour VNC par des tiers (les actionnaires de la Team Australia, dont le géant bancaire Macquarie ndlr).