Toyota investit massivement dans la construction d'usines pour les véhicules électriques en Indonésie. Le constructeur japonais sait qu’il peut compter, pour les batteries, sur les réserves en nickel et cobalt du pays.
Toyota prévoit d'investir 1,76 milliard d'euros au cours des quatre prochaines années pour développer des usines produisant des voitures électriques en Indonésie, en commençant par des véhicules hybrides, a annoncé le ministère indonésien de coordination des affaires maritimes. Une information reprise par l'agence Reuters.
"De 2019 à 2023, nous augmenterons progressivement notre investissement pour atteindre 1,76 milliard d'euros", a déclaré, de son côté, le président de Toyota Akio Toyoda, cité dans un communiqué.
Le constructeur automobile japonais a déclaré que ses ventes de voitures neuves seront composées à 50 % de modèles électriques d'ici 2025, avançant ainsi de cinq ans son calendrier initial, ajoutant qu'il ferait également appel à des fabricants de batteries chinois pour atteindre cet objectif. Ces batteries chinoises contiendront aussi du nickel indonésien. Une économie circulaire en quelques sorte.
"Comme le gouvernement indonésien dispose déjà d'une feuille de route en matière de développement des voitures électriques, Toyota considère l'Indonésie comme un excellent pays d'accueil d'investissements dans les voitures électriques", a déclaré Akio Toyoda.
L'Indonésie, première puissance économique de l'Asie du Sud-Est, dispose de réserves abondantes en minerais latéritiques de nickel, un métal essentiel dans les batteries lithium-ion utilisées pour fournir l'énergie des voitures électriques. De ce fait, l'Indonésie espère devenir un acteur régional majeur - notamment dans la grande région Asie-Pacifique - dans la production de ce type de voitures et de batteries. 6.600 kilomètres séparent l'Indonésie de la Nouvelle-Calédonie.
Deuxième pôle régional de production automobile, l'Indonésie cherche à attirer les constructeurs automobiles étrangers. Le pays a annoncé plus tôt dans l'année son intention d'introduire un régime fiscal qui offrira des réductions d'impôts aux producteurs de batteries et aux constructeurs de voitures électriques, ainsi que des accords tarifaires préférentiels avec d'autres pays qui ont une forte demande de voitures électriques. Pour alimenter ces nouvelles usines automobiles a des coûts compétitifs, mais aussi ses nouvelles usines de nickel, l’Indonésie s’est lancé dans la construction de centrales à charbon de nouvelle génération, construites par des entreprises chinoises.
"De 2019 à 2023, nous augmenterons progressivement notre investissement pour atteindre 1,76 milliard d'euros", a déclaré, de son côté, le président de Toyota Akio Toyoda, cité dans un communiqué.
Le constructeur automobile japonais a déclaré que ses ventes de voitures neuves seront composées à 50 % de modèles électriques d'ici 2025, avançant ainsi de cinq ans son calendrier initial, ajoutant qu'il ferait également appel à des fabricants de batteries chinois pour atteindre cet objectif. Ces batteries chinoises contiendront aussi du nickel indonésien. Une économie circulaire en quelques sorte.
"Comme le gouvernement indonésien dispose déjà d'une feuille de route en matière de développement des voitures électriques, Toyota considère l'Indonésie comme un excellent pays d'accueil d'investissements dans les voitures électriques", a déclaré Akio Toyoda.
L'Indonésie, première puissance économique de l'Asie du Sud-Est, dispose de réserves abondantes en minerais latéritiques de nickel, un métal essentiel dans les batteries lithium-ion utilisées pour fournir l'énergie des voitures électriques. De ce fait, l'Indonésie espère devenir un acteur régional majeur - notamment dans la grande région Asie-Pacifique - dans la production de ce type de voitures et de batteries. 6.600 kilomètres séparent l'Indonésie de la Nouvelle-Calédonie.
Deuxième pôle régional de production automobile, l'Indonésie cherche à attirer les constructeurs automobiles étrangers. Le pays a annoncé plus tôt dans l'année son intention d'introduire un régime fiscal qui offrira des réductions d'impôts aux producteurs de batteries et aux constructeurs de voitures électriques, ainsi que des accords tarifaires préférentiels avec d'autres pays qui ont une forte demande de voitures électriques. Pour alimenter ces nouvelles usines automobiles a des coûts compétitifs, mais aussi ses nouvelles usines de nickel, l’Indonésie s’est lancé dans la construction de centrales à charbon de nouvelle génération, construites par des entreprises chinoises.