Du président de la République, ce mercredi, sur la place des Cocotiers, André Selefen attendait "qu’il laisse entrevoir la suite des discussions pour un avenir où il reconnaît le peuple légitime. Là, il a l’air de survoler. Quand il parle de pardon, c’est trop léger", estime-t-il.
Levi Nemoinon retient du discours d'Emmanuel Macron, "les choses qu’on n’efface pas". Est-ce que travailler dessus permettra de construire un avenir ? Difficile à dire. Mais à ses yeux, les mots du chef de l'Etat étaient "sincères".
Marie-Hélène Renard garde aussi les idées de pardon et d'ambitions en tête. "C'est important, surtout pour notre jeunesse parce que je crois qu'elle en a besoin."
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En bleu, blanc, rouge, Bénédicte Trilles-Coustenoble, elle, repart avec les promesses sur le dégel du corps électoral et le souhait d'instaurer une citoyenneté calédonienne.
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