Vendredi dernier, une élève, au collège Auguste Dédé de Rémire Montjoly, a tenté de mettre fin à ses jours : elle a avalé des médicaments et s’est taillé les veines. La jeune fille a été retrouvée dans les toilettes de l'établissement, le Samu est intervenu, et la victime a été hospitalisée.
Mais le rectorat et la préfecture ont décidé de ne pas mettre sur pied de cellule de soutien psychologique. La décision se prend au cas par cas, explique le rectorat, si la victime a été vue par ses pairs ou si les autres jeunes montrent des signes de détresse psychologique.
Dans le cas présent, les autorités ont estimé que la situation ne le justifiait pas.
Mais le rectorat et la préfecture ont décidé de ne pas mettre sur pied de cellule de soutien psychologique. La décision se prend au cas par cas, explique le rectorat, si la victime a été vue par ses pairs ou si les autres jeunes montrent des signes de détresse psychologique.
Dans le cas présent, les autorités ont estimé que la situation ne le justifiait pas.