Le 9e Festival international du film documentaire océanien s’ouvre aujourd’hui à la Maison de la culture de Papeete.
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Le 9e Festival international du film documentaire océanien s’ouvre aujourd’hui à la Maison de la culture de Papeete.
C’est l’évènement annuel incontournable en Polynésie, attendu par tous les documentaristes du Pacifique et ceux qui s’intéressent à cette région du monde. Le Festival international du film documentaire océanien (FIFO) ouvre officiellement ses portes aujourd’hui et annonce 17 films en compétition et 19 hors compétition dans l’enceinte de la Maison de la Culture de Papeete.
Cette année, la production australienne se taille la part du lion avec pas moins de huit films en compétition, suivie de la Nouvelle-Zélande avec quatre documentaires. Côté francophone, la Polynésie et la France présentent deux films, contre un pour la Nouvelle-Calédonie.
Le jury du FIFO 2012 est présidé par le producteur et réalisateur français Elie Chouraqui. Il comprend onze membres dont des personnalités internationales comme Marie Claude Tjibaou (Nouvelle Calédonie), présidente du Centre culturel Tjibaou, Stuart Menzies (Australie), responsable des programmes sur ABC2 Australie, Rick Blangiardi (Hawaii), directeur général de la chaîne d’information « Hawaii News Now », Jacob Luamanuvae (Samoa), spécialiste des effets spéciaux en 3D, Pierre Ollivier (Polynésie française), délégué général du FIFO de 2004 à 2011 et Thomas Grenon (France), directeur du Museum d’histoire naturelle de Paris.
Le FIFO, ce n’est pas seulement des films documentaires. C’est également les 4e Rencontres numériques avec cette année une formule renouvelée, le 6e Colloque des télévisions océaniennes, qui rassemble de nombreux réalisateurs de la région en partenariat avec France Télévisions, et des sessions gratuites de formation de professionnels et d’amateurs (initiation et perfectionnement à la prise de vue, à l’écriture de scénario et au montage audiovisuel). Sans compter le festival « off » qui compte une notoriété croissante, avec, notamment, la Nuit du court-métrage océanien et la Nuit spéciale Festival de Cabourg.
A l’heure des bouleversements numériques mondiaux, le FIFO a non seulement l’ambition de participer à la réflexion globale sur ces aspects, mais aussi d’être au cœur de l’évolution du marché de l’audiovisuel en Océanie.
C’est l’évènement annuel incontournable en Polynésie, attendu par tous les documentaristes du Pacifique et ceux qui s’intéressent à cette région du monde. Le Festival international du film documentaire océanien (FIFO) ouvre officiellement ses portes aujourd’hui et annonce 17 films en compétition et 19 hors compétition dans l’enceinte de la Maison de la Culture de Papeete.
Cette année, la production australienne se taille la part du lion avec pas moins de huit films en compétition, suivie de la Nouvelle-Zélande avec quatre documentaires. Côté francophone, la Polynésie et la France présentent deux films, contre un pour la Nouvelle-Calédonie.
Le jury du FIFO 2012 est présidé par le producteur et réalisateur français Elie Chouraqui. Il comprend onze membres dont des personnalités internationales comme Marie Claude Tjibaou (Nouvelle Calédonie), présidente du Centre culturel Tjibaou, Stuart Menzies (Australie), responsable des programmes sur ABC2 Australie, Rick Blangiardi (Hawaii), directeur général de la chaîne d’information « Hawaii News Now », Jacob Luamanuvae (Samoa), spécialiste des effets spéciaux en 3D, Pierre Ollivier (Polynésie française), délégué général du FIFO de 2004 à 2011 et Thomas Grenon (France), directeur du Museum d’histoire naturelle de Paris.
Le FIFO, ce n’est pas seulement des films documentaires. C’est également les 4e Rencontres numériques avec cette année une formule renouvelée, le 6e Colloque des télévisions océaniennes, qui rassemble de nombreux réalisateurs de la région en partenariat avec France Télévisions, et des sessions gratuites de formation de professionnels et d’amateurs (initiation et perfectionnement à la prise de vue, à l’écriture de scénario et au montage audiovisuel). Sans compter le festival « off » qui compte une notoriété croissante, avec, notamment, la Nuit du court-métrage océanien et la Nuit spéciale Festival de Cabourg.
A l’heure des bouleversements numériques mondiaux, le FIFO a non seulement l’ambition de participer à la réflexion globale sur ces aspects, mais aussi d’être au cœur de l’évolution du marché de l’audiovisuel en Océanie.
FIFO 2012 : les films en compétition