3 donneurs et 3 receveurs sont prêts... Le 7 octobre, le centre hospitalier réalisera les premières greffes rénales de Polynésie Française.
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Jusqu’à maintenant, le centre hospitalier détenait l’infrastructure et les compétences pour ce type de transplantations, mais le cadre législatif et réglementaire n’existait pas. Depuis le 5 juillet dernier, c’est chose faite. L’Assemblée a adopté une loi de pays et un projet de délibération relatifs au don d’organes. Le conseil des ministres a pris l’arrêté d’application. Les premières greffes sont donc pour bientôt.
Les précisions de la ministre de la Santé, Béatrice Chansin, au micro de Marie-Christine Depaepe :
Une personne sous dyalise coûte 10 millions de francs par an à la collectivité. Une greffe coûte la même somme. Près de 360 patients sont en dialyse en Polynésie ou à l’hôpital ou à l’Apurad. Près d’une soixantaine est suivie post-greffe et une dizaine est en métropole dans l’attente d’un rein.
Kailua Monnot a reçu un greffon en 2000, à Bordeaux. Elle a attendu presque 3 ans. Ecoutez son témoignage au micro de Maruki Dury :
Les précisions de la ministre de la Santé, Béatrice Chansin, au micro de Marie-Christine Depaepe :
beatrice chansin greffe renale
Une personne sous dyalise coûte 10 millions de francs par an à la collectivité. Une greffe coûte la même somme. Près de 360 patients sont en dialyse en Polynésie ou à l’hôpital ou à l’Apurad. Près d’une soixantaine est suivie post-greffe et une dizaine est en métropole dans l’attente d’un rein.
Kailua Monnot a reçu un greffon en 2000, à Bordeaux. Elle a attendu presque 3 ans. Ecoutez son témoignage au micro de Maruki Dury :
Temoignage greffe