Décrit comme sinistré, certains n'hésitent pas à investir dans le secteur touristique, jusqu'à racheter des hôtels en faillite.
L'an dernier, le Royal tahitien était encore voué à une fermeture certaine. Mais c'était sans compter sur ses nouveaux propriétaires qui gardent espoir en l'avenir. D'autant plus que les marchés pourvoyeurs de touristes évoluent depuis quelques années. Eric Tang et Sandro Ly