L'opération « école ouverte » s’inscrit dans la continuité d’un dispositif éducatif mis en place à l’échelon national. De nombreuses activités éducatives dans les domaines scolaire, culturel, sportif et des loisirs sont ainsi proposées aux élèves.
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Ce programme permet aux élèves de pouvoir profiter pleinement de leurs vacances pour découvrir des activités insolites (théâtre, break dance, jardinage, chop ball, récup’art, etc…) ou revisiter certains aspects de la culture traditionnelle polynésienne (chants et danses, activités artisanales…). Elles dépendent du projet éducatif intégré au projet d'établissement.
Il s’agit également d’ouvrir l’école sur l’extérieur, sur le monde. C’est un moyen efficace de lutte contre la violence à l'école, c’est aussi un moyen de lutte contre l’oisiveté.
Cette opération repose notamment sur l’engagement du chef d'établissement, des membres de l'équipe éducative et de l'ensemble des intervenants impliqués dans l'opération. Des partenariats avec des intervenants extérieurs sont mis en place, ces intervenants permettant d’enrichir le concept de leur savoir-faire et de diversifier les activités proposées aux jeunes.
De nombreux établissements, écoles et CJA (Centres de jeunes adolescents) participent à cette première opération dans la majorité des archipels de Polynésie française. Une quarantaine de projets ont été retenus pour un coût global de 16 millions cfp.
Il s’agit également d’ouvrir l’école sur l’extérieur, sur le monde. C’est un moyen efficace de lutte contre la violence à l'école, c’est aussi un moyen de lutte contre l’oisiveté.
Cette opération repose notamment sur l’engagement du chef d'établissement, des membres de l'équipe éducative et de l'ensemble des intervenants impliqués dans l'opération. Des partenariats avec des intervenants extérieurs sont mis en place, ces intervenants permettant d’enrichir le concept de leur savoir-faire et de diversifier les activités proposées aux jeunes.
De nombreux établissements, écoles et CJA (Centres de jeunes adolescents) participent à cette première opération dans la majorité des archipels de Polynésie française. Une quarantaine de projets ont été retenus pour un coût global de 16 millions cfp.