Le ministre du Tourisme et de l’Ecologie, Geffry SALMON, et le ministre de l’Education, Michel LEBOUCHER, ont présenté conjointement le label des « aires marines éducatives » et le programme pilote PUKATAI mis en place aux Marquises.
Une « aire marine éducative » (AME) est une zone maritime littorale gérée de manière participative par une école ou un groupe d’élèves. Elle implique la gestion participative d’un projet éco-citoyen ayant pour but de protéger et de gérer un milieu marin choisi. Une AME permet de renforcer la diffusion des connaissances scientifiques sur le milieu marin, de faire connaître les usages et la culture liés à la mer grâce à l’intervention de professionnels de la mer tout en étant lié au programme scolaire.
Le réseau pilote PUKATAI (corail en Marquisien), vise à créer des AME dans chacune des îles habitées des Marquises, où une équipe de référents issus de ces mêmes îles aideront les enseignants à développer les activités liées à l’aire marine éducative. Le programme est mis en œuvre depuis le début de l’année dans l’école Vaitahu, à Tahuata, et d’autres écoles partenaires ont été retenues : Omoa à Fatu Hiva, Hane à Ua Huka, CSP-Atuona à Hiva Oa, Aakapa et Hatiheu à Nuku Hiva et Hakahetau à Ua Pou.
Le gouvernement cherche, au travers de ce projet de création d’aire marine éducative, à développer de nouveaux métiers liés à la mer et au patrimoine.
Depuis janvier 2014, le concept des aires marines éducatives (AME) et le programme PUKATAI sont opérés par un comité regroupant les ministères de l’Ecologie, de l’Education, des Ressources marines et de la recherche, par la Direction de l’environnement (DIREN), la Direction des ressources marines, la Direction de l’enseignement primaire, la représentante locale de l’IFRECOR (Initiative française pour les récifs coralliens), l’Agence des aires marines protégées (AAMP), la fédération MOTUHAKA, l’école primaire de Vaitahu, à Tahuata, et les associations polynésiennes impliquées dans l’éducation à l’environnement.
Ce projet de développement durable a notamment été présenté à IMPAC3 (Congrès international des aires marines protégées) en 2013 et a connu un grand succès avec une attente très forte de la communauté internationale pour son déploiement. Le label et le réseau Marquises pilote devraient être présentés lors du Congrès mondial des parcs, à Sydney, en novembre prochain, grâce à une ambassadrice polynésienne, une jeune fille issue de la première classe qui a initié ce concept.
Source : Communiqué de la Présidence
Le réseau pilote PUKATAI (corail en Marquisien), vise à créer des AME dans chacune des îles habitées des Marquises, où une équipe de référents issus de ces mêmes îles aideront les enseignants à développer les activités liées à l’aire marine éducative. Le programme est mis en œuvre depuis le début de l’année dans l’école Vaitahu, à Tahuata, et d’autres écoles partenaires ont été retenues : Omoa à Fatu Hiva, Hane à Ua Huka, CSP-Atuona à Hiva Oa, Aakapa et Hatiheu à Nuku Hiva et Hakahetau à Ua Pou.
Le gouvernement cherche, au travers de ce projet de création d’aire marine éducative, à développer de nouveaux métiers liés à la mer et au patrimoine.
Depuis janvier 2014, le concept des aires marines éducatives (AME) et le programme PUKATAI sont opérés par un comité regroupant les ministères de l’Ecologie, de l’Education, des Ressources marines et de la recherche, par la Direction de l’environnement (DIREN), la Direction des ressources marines, la Direction de l’enseignement primaire, la représentante locale de l’IFRECOR (Initiative française pour les récifs coralliens), l’Agence des aires marines protégées (AAMP), la fédération MOTUHAKA, l’école primaire de Vaitahu, à Tahuata, et les associations polynésiennes impliquées dans l’éducation à l’environnement.
Ce projet de développement durable a notamment été présenté à IMPAC3 (Congrès international des aires marines protégées) en 2013 et a connu un grand succès avec une attente très forte de la communauté internationale pour son déploiement. Le label et le réseau Marquises pilote devraient être présentés lors du Congrès mondial des parcs, à Sydney, en novembre prochain, grâce à une ambassadrice polynésienne, une jeune fille issue de la première classe qui a initié ce concept.
Source : Communiqué de la Présidence