Le projet de ferme aquacole de Hao pourait-t-il être impacté par la cigüatera présente dans le lagon de l’île ? Pour les spécialistes le risque est écarté, des études réalisées à Hawaii viennent le confirmer.
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A la direction des ressources marines et minières, on reste serein quant à l'élevage de poissons dans le lagon de Hao. Il n'y a aucun risque de cigüatera dans la future ferme aquacole.
En effet, les 3 espèces de poissons qui doivent être élevées, à savoir le mérou, la loche et le napoléon sont carnivores et non herbivores. Or, la cigüatera se transmet par des micro-algues. De plus, la nourriture des poissons devrait venir du Pérou et sera contrôlée.
Seuls risques toutefois : des poissons lagonaires intoxiqués pourraient se faire manger à l’intérieur des filets, et la pollution engendrée par les déjections animales.
En tout cas, les Chinois travaillent en collaboration avec tous les instituts du fenua, comme l'Ifremer, l'institut Malardé et la direction des ressources marines.
Leur projet est de produire et d'exporter 50 000 tonnes de poisson par an à terme.
Pas de risque de cigüatera - Jacques Damour / Mirko Vanfaut
En effet, les 3 espèces de poissons qui doivent être élevées, à savoir le mérou, la loche et le napoléon sont carnivores et non herbivores. Or, la cigüatera se transmet par des micro-algues. De plus, la nourriture des poissons devrait venir du Pérou et sera contrôlée.
Seuls risques toutefois : des poissons lagonaires intoxiqués pourraient se faire manger à l’intérieur des filets, et la pollution engendrée par les déjections animales.
En tout cas, les Chinois travaillent en collaboration avec tous les instituts du fenua, comme l'Ifremer, l'institut Malardé et la direction des ressources marines.
Leur projet est de produire et d'exporter 50 000 tonnes de poisson par an à terme.