A Arutua, aux Tuamotu, un homme d'une soixantaine d'années est décédé lors d'une partie de pêche sous-marine en solitaire. Cela porte à sept le nombre de victimes lors d'une sortie de pêche sous marine depuis le début de l'année.
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C'est un nouveau drame de la plongée qui s'est produit aux Tuamotu. Un homme est décédé. Il s’est noyé en allant à la pêche sous-marine sans binôme à Arutua. Son corps à été retrouvé à proximité d'une passe connue des pêcheurs de l’atoll. La victime était âgée d’une soixantaine d’années.
Ce drame porte à sept le nombre de victimes lors d'une sortie de pêche sous-marine, depuis le début de l'année. La Fédération Tahitienne de Sports Subaquatique de Compétition (FTSSC) estime qu’il existe près de 1 500 pratiquants en Polynésie française.
En juin dernier, la Fédération a organisé dans les communes des formations pour sensibiliser les pratiquants. Des règles sont à respecter pour pratiquer la pêche sous-marine dans de bonnes conditions.
Ces règles s’articulent autour de trois axes expliquait alors Frédéric Duguet, formateur subaquatique et responsable commission apnée à la fédération tahitienne de chasse et de sports sous-marins : ne jamais chasser seul, écouter son corps, discuter avec son bînome.
Ce drame porte à sept le nombre de victimes lors d'une sortie de pêche sous-marine, depuis le début de l'année. La Fédération Tahitienne de Sports Subaquatique de Compétition (FTSSC) estime qu’il existe près de 1 500 pratiquants en Polynésie française.
En juin dernier, la Fédération a organisé dans les communes des formations pour sensibiliser les pratiquants. Des règles sont à respecter pour pratiquer la pêche sous-marine dans de bonnes conditions.
Ces règles s’articulent autour de trois axes expliquait alors Frédéric Duguet, formateur subaquatique et responsable commission apnée à la fédération tahitienne de chasse et de sports sous-marins : ne jamais chasser seul, écouter son corps, discuter avec son bînome.