La danse tahitienne comme un pont vers le monde entier... C'est l'histoire d'une danseuse japonaise. Faute de Heiva à Tahiti, elle a été accueillie chaleureusement par une troupe de Rimatara.
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Depuis quelques années, Satoko, une Japonaise de 36 ans, fait des allers-retours entre son pays et la Polynésire française. Son objectif : apprendre toujours un peu plus le ori tahiti. Gestuelle parfaite, aparima assimilé... Danse et langue tahitiennes n'ont presque plus de secret pour elle.
Depuis quelques semaines, la jeune femme du pays du Soleil levant enchaîne les répétitions de danse au sein d'une troupe de Rimatara. Cette année, faute de Heiva i Tahiti, elle a donc suivi une troupe de Rimatara. "Une amie m'a proposé de participer au Heiva i Rimatara, c'est la chance", confie amusée Satoko. Rencontre avec une passionnée.
Depuis quelques semaines, la jeune femme du pays du Soleil levant enchaîne les répétitions de danse au sein d'une troupe de Rimatara. Cette année, faute de Heiva i Tahiti, elle a donc suivi une troupe de Rimatara. "Une amie m'a proposé de participer au Heiva i Rimatara, c'est la chance", confie amusée Satoko. Rencontre avec une passionnée.