Actrice qui a tourné avec les plus grands, Marie Laforêt, décédée le 2 novembre à l'âge de 80 ans, a été une chanteuse très en vogue avec des tubes pleins de charme, comme Les vendanges de l'amour ou Viens, viens.
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Une voix s'est éteinte. "Marie Laforêt est décédée samedi à Genolier. Sa fille vient de me l'annoncer", a indiqué dimanche 3 novembre à un journaliste de l'AFP, Dominique Segall, attaché de presse de la réalisatrice Lisa Azuelos, la fille de Marie Laforêt. Les causes de la mort de l'interprète des "Vendanges de l'amour" ou "Viens, viens" n'ont pas été précisées. Marie Laforêt est décédée à l'âge de 80 ans, en Suisse, là où elle avait élu domicile depuis plusieurs années.
Après une carrière débutée dans le cinéma, celle qu'on surnommait "la fille aux yeux d'or" sort son premier 45 tours en 1963 Les vendanges de l'amour écrit par Danyel Gérard. C'est le succès et les tubes vont s'enchaîner. Au début des années 1960, elle interprète de nombreux succès de la chanson française, notamment des adaptations des morceaux des Rolling Stones. En 1979, elle sort Il a neigé sur Yesterday, un titre dans lequel elle évoque la séparation des Beatles.
Elle est pionnière dans la World Music, puisant son inspiration dans les folklores américain et européen. Tout en se tenant à l'écart du show-biz, elle remplit l'Olympia en 1969, tourne dans le monde entier. "Je n'ai pas une voix, j'ai un timbre", notait-elle pourtant, minimisant son talent personnel et ajoutant, comme pour bien montrer qu'elle n'était dupe de rien, ne pas "avoir honte de faire ce que je fais : interpréter au premier degré des chansons populaires".
Après une carrière débutée dans le cinéma, celle qu'on surnommait "la fille aux yeux d'or" sort son premier 45 tours en 1963 Les vendanges de l'amour écrit par Danyel Gérard. C'est le succès et les tubes vont s'enchaîner. Au début des années 1960, elle interprète de nombreux succès de la chanson française, notamment des adaptations des morceaux des Rolling Stones. En 1979, elle sort Il a neigé sur Yesterday, un titre dans lequel elle évoque la séparation des Beatles.
Elle est pionnière dans la World Music, puisant son inspiration dans les folklores américain et européen. Tout en se tenant à l'écart du show-biz, elle remplit l'Olympia en 1969, tourne dans le monde entier. "Je n'ai pas une voix, j'ai un timbre", notait-elle pourtant, minimisant son talent personnel et ajoutant, comme pour bien montrer qu'elle n'était dupe de rien, ne pas "avoir honte de faire ce que je fais : interpréter au premier degré des chansons populaires".