6ème jour de recherche et toujours rien. 4 victimes restent introuvables, bien qu'une centaine de personnes soient encore mobilisées aujourd'hui. Gendarmes, réservistes et bénévoles, ce sont répartis en groupe pour ratisser le littoral. De l'embouchure de Papenoo jusqu'à la pointe Vénus, et même jusqu'à la plage Haapoponi, à Tiarei, les petites équipes de volontaires, encadrés par les gendarmes et les secouristes, scrutent le rivage, inspectent les rochers. Au large, plongeurs et bateaux surveillent la mer. Aucune piste n’est écartée. Des kilomètres de plages sont passés au peigne fin.
Mais aucun signe de la jeune femme et des 3 enfants emportés par la rivière en crue dimanche 6 novembre. La famille comme les bénévoles ne perdent pas espoir. Trois fois par jour, les recherches s’organisent à l’entrée de la vallée. Et tout autour, les rumeurs sont aussi fortes que l’émotion. Les secouristes procèdent à chaque fois à ce qu’ils appellent des « levées de doutes ».
Les recherches devraient continuer demain, en attendant, l'accès à la vallée de la Papenoo reste fermé à tous.