Suite à l'allocution de François Hollande dans laquelle il annonce ne pas se présenter au prochaine élection présidentielle, les personnalités politiques de la Polynésie française ont réagi.
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C'est la première fois qu'un président en exercice de la Ve République renonce à briguer un second mandat. Président le plus impopulaire de la Ve République, François Hollande était crédité de moins de 10% dans les sondages pour le premier tour de l'élection présidentielle. Lors d'une allocution surprise depuis l'Elysée, ce jeudi 1er décembre, le chef de l'Etat a annoncé qu'il ne serait pas candidat à la présidentielle de 2017.
Cette décision a fait réagir les élus polynésiens. "Je salue ce courage", a confié Edouard Fritch qui avait soutenu Alain Juppé lors de la primaire de la droite et du centre, "Quelque part cela m'affecte que cet homme se soit retiré pour essayer de calmer les esprits et de retrouver une unité à son parti".
De son côté, le Vieux Lion estime qu'il fallait s'y attendre. "Le fait que François Hollande ne se présente pas facilite la démarche de Manuel Valls qui pourra se présenter au primaire du PS", a confié Gaston Flosse avant d'ajouter que les "engagements pris ne seront pas tenus. Il vaut mieux arrêter toute les discussions avec le PS et attendre le nouveau président de la République qui sera élu en mai prochain".
"Ce n'est pas une surprise", a également confié Anthony Géros, réprésentant de l'UPLD à l'Assemblée. Pour l'élu, le président François Hollande n'incarnait plus la personne pouvant représenter le PS.
Cette décision a fait réagir les élus polynésiens. "Je salue ce courage", a confié Edouard Fritch qui avait soutenu Alain Juppé lors de la primaire de la droite et du centre, "Quelque part cela m'affecte que cet homme se soit retiré pour essayer de calmer les esprits et de retrouver une unité à son parti".
reaction fritch/ hollande
De son côté, le Vieux Lion estime qu'il fallait s'y attendre. "Le fait que François Hollande ne se présente pas facilite la démarche de Manuel Valls qui pourra se présenter au primaire du PS", a confié Gaston Flosse avant d'ajouter que les "engagements pris ne seront pas tenus. Il vaut mieux arrêter toute les discussions avec le PS et attendre le nouveau président de la République qui sera élu en mai prochain".
"Ce n'est pas une surprise", a également confié Anthony Géros, réprésentant de l'UPLD à l'Assemblée. Pour l'élu, le président François Hollande n'incarnait plus la personne pouvant représenter le PS.