Le nouveau coronavirus se trouve désormais aux portes de la Polynésie, puisqu'il est désormais présent en Nouvelle Zélande et à Los Angeles.
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Pour l'heure, la Polynésie reste indemne. Mais au cas où le virus s'introduirait, l'institut Louis Malardé serait en première ligne. Car comme pour chaque épidémie, le plus important est de rapidement dépister les malades, pour limiter au maximum la conatgion.
Pour se faire dépister, il faut se diriger vers l'institut Louis Malardé, et plus précisément vers la cellule LSB3, la salle où l'on peut procéder à des prélèvements oropharyngés, c'est à dire, aux prélèvements de cellules du fond de la gorge et du fond du nez.
C'est un laboratoire haute sécurité, dit de niveau 3, le niveau maximum. Il est utilisé pour tester des virus comme Ebola par exemple. Le test prend en tout de 4 à 5 heures, le temps d'extraire et purifier le matériel génétique qui permettra d'identifier le virus.
Pour l'heure, la vingtaine de tests pratiqués sont négatifs. Le principe de précaution reste cependant de mise. Car il est essentiel de déterminer le premier patient, pour limiter ensuite les contaminations. Pour autant il est demandé de ne pas se précipiter à l’institut Louis Malardé de son propre chef. C’est le SAMU qu’il faut d’abord appeler en cas de suspicion.
Pour se faire dépister, il faut se diriger vers l'institut Louis Malardé, et plus précisément vers la cellule LSB3, la salle où l'on peut procéder à des prélèvements oropharyngés, c'est à dire, aux prélèvements de cellules du fond de la gorge et du fond du nez.
C'est un laboratoire haute sécurité, dit de niveau 3, le niveau maximum. Il est utilisé pour tester des virus comme Ebola par exemple. Le test prend en tout de 4 à 5 heures, le temps d'extraire et purifier le matériel génétique qui permettra d'identifier le virus.
Pour l'heure, la vingtaine de tests pratiqués sont négatifs. Le principe de précaution reste cependant de mise. Car il est essentiel de déterminer le premier patient, pour limiter ensuite les contaminations. Pour autant il est demandé de ne pas se précipiter à l’institut Louis Malardé de son propre chef. C’est le SAMU qu’il faut d’abord appeler en cas de suspicion.
Epidémie de Covid19,le dépistage en première ligne