Un exercice cyclone a été organisé aujourd'hui, mardi 16 octobre 2018. A cette occasion, le poste de commandement de crise a été activé au Haut-commissariat.
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L’objectif de cet exercice est de tester la réponse de sécurité civile dans le cas de la survenue d’un cyclone en Polynésie française. Il permettra aux services de l’État, du Pays, des communes, ainsi qu’aux opérateurs de service et d’importance vitale de se coordonner et de s’approprier leur rôle en cas de crise.
En effet, afin de répondre de manière efficiente à ce type d’événement climatique, il convient que l’ensemble des services opérationnels se mobilisent rapidement et organisent les secours en totale coordination dans le cadre du plan ORSEC cyclone pour assurer la protection des populations.
Par ailleurs, pour tous les types d’événements, comme c’est le cas pour les cyclones et les tsunamis, il est essentiel que la population s’approprie les mesures de précaution, les comportements de sauvegarde et les bons réflexes à mettre en œuvre.
Dans cette perspective, un travail d’anticipation a été mené avec les communes afin de parer au mieux aux conséquences de ces catastrophes naturelles.
C’est le cas notamment des schémas d’évacuation intégrés aux plans communaux de sauvegarde qui sont mis en œuvre dans les établissements scolaires pour éviter tout comportement de panique qui nuirait à la bonne gestion des secours.
Ce travail, suivi et accompagné par la direction de la protection civile, complète le plan de circulation élaboré en lien avec la police nationale et la gendarmerie nationale à l’échelle du grand Papeete (de Punaauia à Mahina). Il se traduira, sur le terrain, par la mise en place de panneaux signalant les zones submersibles et les zones de refuge ainsi que le parcours à suivre en cas d’alerte tsunami. L’État pourra financièrement aider les communes avec la dotation d’équipement des territoires ruraux (DETR).
En effet, afin de répondre de manière efficiente à ce type d’événement climatique, il convient que l’ensemble des services opérationnels se mobilisent rapidement et organisent les secours en totale coordination dans le cadre du plan ORSEC cyclone pour assurer la protection des populations.
Par ailleurs, pour tous les types d’événements, comme c’est le cas pour les cyclones et les tsunamis, il est essentiel que la population s’approprie les mesures de précaution, les comportements de sauvegarde et les bons réflexes à mettre en œuvre.
Dans cette perspective, un travail d’anticipation a été mené avec les communes afin de parer au mieux aux conséquences de ces catastrophes naturelles.
C’est le cas notamment des schémas d’évacuation intégrés aux plans communaux de sauvegarde qui sont mis en œuvre dans les établissements scolaires pour éviter tout comportement de panique qui nuirait à la bonne gestion des secours.
Ce travail, suivi et accompagné par la direction de la protection civile, complète le plan de circulation élaboré en lien avec la police nationale et la gendarmerie nationale à l’échelle du grand Papeete (de Punaauia à Mahina). Il se traduira, sur le terrain, par la mise en place de panneaux signalant les zones submersibles et les zones de refuge ainsi que le parcours à suivre en cas d’alerte tsunami. L’État pourra financièrement aider les communes avec la dotation d’équipement des territoires ruraux (DETR).
L’exercice cyclone 2018 : se préparer à la gestion de crise