Le Japon est signataire du moratoire sur la chasse de la Commission baleinière internationale, mais utilise une faille du texte qui autorise la chasse aux cétacés pour des visées scientifiques.
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La chasse "scientifique " a été bonne. Des baleiniers japonais sont rentrés au port, samedi 31 mars, après avoir tué 333 cétacés dans l'océan Antarctique, des baleines de Minke (petits rorquals). Une flotte de cinq navires avait entamé sa campagne en novembre dans le cadre de la très controversée chasse à la baleine dite "scientifique" menée par le Japon.
Trois baleiniers, y compris le principal navire de la flotte, le Nisshin Maru, sont arrivés au port de Shimonoseki sans avoir été confrontés à la moindre manifestation de protestation par des organisations opposées à à cette chasse.
Le Japon est signataire du moratoire sur la chasse de la Commission baleinière internationale, mais utilise une faille du texte qui autorise la chasse aux cétacés pour des visées scientifiques. La Cour internationale de justice avait sommé le Japon en 2014 de mettre fin à ses campagnes de chasse régulières dans les eaux de l'Antarctique, soulignant qu'elles ne correspondaient pas aux critères scientifiques requis.
Le Premier ministre japonais, Shinzo Abe, a réitéré fin janvier la volonté de son pays de poursuivre la chasse à la baleine dite "scientifique" dans l'Antarctique et de reprendre à terme la pêche commerciale.
Trois baleiniers, y compris le principal navire de la flotte, le Nisshin Maru, sont arrivés au port de Shimonoseki sans avoir été confrontés à la moindre manifestation de protestation par des organisations opposées à à cette chasse.
Le Japon est signataire du moratoire sur la chasse de la Commission baleinière internationale, mais utilise une faille du texte qui autorise la chasse aux cétacés pour des visées scientifiques. La Cour internationale de justice avait sommé le Japon en 2014 de mettre fin à ses campagnes de chasse régulières dans les eaux de l'Antarctique, soulignant qu'elles ne correspondaient pas aux critères scientifiques requis.
Le Premier ministre japonais, Shinzo Abe, a réitéré fin janvier la volonté de son pays de poursuivre la chasse à la baleine dite "scientifique" dans l'Antarctique et de reprendre à terme la pêche commerciale.