Ce lundi 8 juin, plusieurs affaires étaient jugées en comparution immédiate. Parmi les dossiers, celui d'un mari violent qui a battu sa compagne devant sa fille de 4 ans. L'homme a été condamné à un an de prison ferme.
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En comparution immédiate, ce lundi après-midi, un homme était jugé pour violences conjugales. Originaire de Rapa aux Australes, il vit avec sa vahine depuis 10 ans. Ce week-end, le conjoint a de nouveau battu sa femme à coups de pied, de poing et de coude au visage. A tel point que la victime a eu le tympan gauche percé. Les violences se sont déroulées sous trois circonstances aggravantes : sur conjoint, en état d’ivresse et en présence d’une mineure.
En effet, la fille du couple, âgée de 4 ans, a assisté à la scène. Le parquet a requis 18 mois de prison dont 8 mois de sursis probatoire avec obligation de soin, de suivre un stage de formation contre les violences conjugales, interdiction de contacter ou de paraître au domicile de la victime. Le ministère public a aussi requis le maintien en détention. Finalement, le mari violent a été condamné à 2 ans de prison dont un an avec sursis probatoire de 2 ans et obligation de soins pour alcool et stupéfiants. Il devra également suivre un stage de prévention sur les violences conjugales et est interdit de paraître devant ou de contacter la victime. Il a été maintenu en détention.
Toujours en comparution immédiate ce lundi, un homme a été relaxé. Le prévenu, qui reconnaît être un voleur, a été accusé à tort de cambriolages dans une école de Papenoo, en avril dernier. Son principal accusateur a finalement avoué lors de son procès qu’il avait menti. Cette histoire aurait pu se terminer mal car le jeune homme, placé en détention provisoire, avait tenté de se suicider.
En effet, la fille du couple, âgée de 4 ans, a assisté à la scène. Le parquet a requis 18 mois de prison dont 8 mois de sursis probatoire avec obligation de soin, de suivre un stage de formation contre les violences conjugales, interdiction de contacter ou de paraître au domicile de la victime. Le ministère public a aussi requis le maintien en détention. Finalement, le mari violent a été condamné à 2 ans de prison dont un an avec sursis probatoire de 2 ans et obligation de soins pour alcool et stupéfiants. Il devra également suivre un stage de prévention sur les violences conjugales et est interdit de paraître devant ou de contacter la victime. Il a été maintenu en détention.
Toujours en comparution immédiate ce lundi, un homme a été relaxé. Le prévenu, qui reconnaît être un voleur, a été accusé à tort de cambriolages dans une école de Papenoo, en avril dernier. Son principal accusateur a finalement avoué lors de son procès qu’il avait menti. Cette histoire aurait pu se terminer mal car le jeune homme, placé en détention provisoire, avait tenté de se suicider.