Nicole Sanquer, vice-présidente de la Commission d'enquête sur la gestion sanitaire en Polynésie, présente les conclusions du rapport de près de 300 pages. Elle a souligné l'impact financier considérable sur le Pays, avec une dette passée de 80 à 156 milliards de francs entre 2020 et 2023. Au-delà des constats, le document propose des recommandations pour mieux réagir en cas de crise future. Nicole Sanquer aborde également la nécessité de clarifier les compétences entre l'État et le Pays et de créér un fonds de secours.
Ibrahim Ahmed Hazi l'a interrogé sur la possibilité d'un rapprochement politique avec la plateforme autonomiste. Elle a déclaré qu'aucune rencontre n'était programmée à ce jour, mais a exprimé la disponibilité du groupe A here ia Porinetia à discuter d'un projet commun, tout en soulignant la nécessité d'un changement dans la manière de diriger le pays.
Nous n'avons pas eu peur de quitter notre confort dans un parti majoritaire pour réfléchir à une nouvelle Polynésie parce que c'est ça l'enjeu. L'heure des constats est terminé, aujourd'hui il faut des solutions pour que la Polynésie puisse accéder à sa liberté. C'est ça notre objectif et c'est vrai, il faut changer la manière de gérer ce pays.
Nicole Sanquer répond aux questions d'Ibrahim Ahmed Hazi :
Et en tahitien à Tauarii Lee :