C'est un couple du pays Basque, en France, qui a imaginé cette planche de paddle qui rencontrerait beaucoup de succès dans nos lagons ! Oui, mais...
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Imaginez que vous puissiez paddler tout en voyant au travers de la planche ? Une innovation qui marcherait du tonnerre dans les eaux limpides de Polynésie !
Vanessa Pretotto et Laurent Jaurey l'ont rendu possible. Entre l'idée et la concrétisation : 5 ans de travail. Trouver la matière, les partenaires, les financements, identifier les procédés... L’atelier de production de cette planche se trouve à Bayonne et le bureau commercial est installé à Biarritz. Une planche constituée d’une structure en carbone, d’une dérive et d’une pagaie biomimétique : la dérive est inspirée des nageoires des dauphins. La matière transparente utilisée pour la planche est celle qu’on retrouve dans « les verrières d’hélicoptère ou les hublots d’avions ». Il s’agit de PMMA, nouvelle formulation qui a pour principale qualité l’inaltérabilité. Sous la planche, on trouve une double rangée de LED qui permet d’éclairer la faune et la flore marine. Voilà pour les bonnes nouvelles. La mauvaise ? Les concepteurs prévoient de ne produire que 100 planches de SUP en 2019. Et le prix de ce concentré de technologie reste confidentiel...
Vanessa Pretotto et Laurent Jaurey l'ont rendu possible. Entre l'idée et la concrétisation : 5 ans de travail. Trouver la matière, les partenaires, les financements, identifier les procédés... L’atelier de production de cette planche se trouve à Bayonne et le bureau commercial est installé à Biarritz. Une planche constituée d’une structure en carbone, d’une dérive et d’une pagaie biomimétique : la dérive est inspirée des nageoires des dauphins. La matière transparente utilisée pour la planche est celle qu’on retrouve dans « les verrières d’hélicoptère ou les hublots d’avions ». Il s’agit de PMMA, nouvelle formulation qui a pour principale qualité l’inaltérabilité. Sous la planche, on trouve une double rangée de LED qui permet d’éclairer la faune et la flore marine. Voilà pour les bonnes nouvelles. La mauvaise ? Les concepteurs prévoient de ne produire que 100 planches de SUP en 2019. Et le prix de ce concentré de technologie reste confidentiel...