A Paea, découverte des probables seules poires de Tahiti. A 86 ans, Yat Sal Chan Sin a réussi à faire pousser un poirier chez lui, à partir de fruits achetés en grande surface. Une prouesse agronomique sur une île tropicale.
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Il y a 5 ans, Yat Sal Chan Sin a coupé la poire en deux, au sens propre. Celle-ci venait d’un supermarché. Il a mangé le fruit et fait germer les graines. Depuis, le petit poirier a fait son bonhomme de chemin et donne depuis 2 ans, probablement les seules poires de Tahiti.
"Au début, les poires étaient un peu plus petites", explique Willy Chan Sin, le fils de Yat Sal. "On ne connaissait pas la maturité. On a commencé à les manger, elles étaient trop croquantes, trop vertes... Après, on a attendu et on a eu la même sensation qu’avec celles qu’on achetait."
Ces poires sont le fruit d’une vie entière passée dans l’agriculture et d’une passion pour la terre. Le poirier de Yat Sal Chan Sin cohabite avec les kava et les longanes tropicalisés. Son jardin, il en prend soin chaque matin. Son secret ? Regardez ce reportage de Lucile Guichet-Tirao et Sandro Ly :
"Au début, les poires étaient un peu plus petites", explique Willy Chan Sin, le fils de Yat Sal. "On ne connaissait pas la maturité. On a commencé à les manger, elles étaient trop croquantes, trop vertes... Après, on a attendu et on a eu la même sensation qu’avec celles qu’on achetait."
Un fruit tempéré sur une île tropicale
Ces poires sont le fruit d’une vie entière passée dans l’agriculture et d’une passion pour la terre. Le poirier de Yat Sal Chan Sin cohabite avec les kava et les longanes tropicalisés. Son jardin, il en prend soin chaque matin. Son secret ? Regardez ce reportage de Lucile Guichet-Tirao et Sandro Ly :