Le comité national des biens français a validé, mercredi 11 avril, à Paris, la première étape du dossier d’inscription des îles Marquises au patrimoine mondial de l’Unesco. L’archipel présente désormais 9 sites, et non plus 43.
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C’est une nouvelle étape de franchie pour le processus d’inscription des îles Marquises au patrimoine mondial de l’humanité. À l’issue de l’audition, à Paris, d’une délégation menée par le ministre de la Culture, Heremoana Maamaatuaiahutapu, et le président de la communauté de communes des îles Marquises, Félix Barsinas, le comité national des biens français a validé la première étape du dossier. Autrement dit, les orientations proposées et la définition de valeur universelle du bien ont reçu l’assentiment du comité.
Alors que 43 sites avaient été retenus en 2012, la Polynésie française propose désormais d’inscrire neuf sites marquisiens : l’île de Hatutu et sa zone maritime à Hatuta’a ; Hatiheu, Paeke et l’ensemble terrestre de Nuku Hiva ; les pics et pitons de Ua Pou, sa vallée de Haka’oohoka et sa baie de Hoho’i, Motu Oa, et Paepae Menaha ; Me’ae de lipona et la vallée de Puamau à Hiva Oa et enfin Hanavave, les monts Tou-aouoho et Mounani, ainsi que les falaises d’Omoa à Fatu Hiva.
Il reste encore du travail. Le Pays devra se représenter d’ici un an devant le comité national des biens français pour la seconde étape du dossier, portant notamment sur les limites du bien et l’analyse comparative avec d’autres biens classés au niveau mondial.
Le processus d’inscription devrait durer deux à trois ans, d’après la présidence.
Alors que 43 sites avaient été retenus en 2012, la Polynésie française propose désormais d’inscrire neuf sites marquisiens : l’île de Hatutu et sa zone maritime à Hatuta’a ; Hatiheu, Paeke et l’ensemble terrestre de Nuku Hiva ; les pics et pitons de Ua Pou, sa vallée de Haka’oohoka et sa baie de Hoho’i, Motu Oa, et Paepae Menaha ; Me’ae de lipona et la vallée de Puamau à Hiva Oa et enfin Hanavave, les monts Tou-aouoho et Mounani, ainsi que les falaises d’Omoa à Fatu Hiva.
Il reste encore du travail. Le Pays devra se représenter d’ici un an devant le comité national des biens français pour la seconde étape du dossier, portant notamment sur les limites du bien et l’analyse comparative avec d’autres biens classés au niveau mondial.
Le processus d’inscription devrait durer deux à trois ans, d’après la présidence.