Trois journalistes représentant Le monde, Télérama et France 24 ont assisté à la 16e édition du Festival International du Film documentaire Océanien, la semaine dernière à Papeete. Leurs publications contribuent à promouvoir le festival et l'Océanie en métropole.
Plusieurs journaux en ligne se sont fait l'écho du FIFO qui la semaine dernière a vu "Anote's ark" consacré grand prix du jury 2019.
Parmi les journalistes invités, Mustapha Kessous du journal Le Monde, note que "pour sa seizième édition, le FIFO poursuit l'une de ses principales missions, celle d’accueillir et exposer les innombrables peuples du Pacifique".
Dans son papier intitulé : "L'Océanie veut se réapproprier son histoire à travers les films documentaires " le journaliste donne la parole aux deux créateurs du festival, Wallès Kotra et Heremoana Maamaatuaiahutapu.
Ils lui expliquent comment au fil des ans cette rencontre inter océanienne a gané en notoriété et en popularité jusqu'à devenir le second évènement culturel le plus important de Polynésie française, après le plus que centenaire concours de chants et de danse annuel du Heiva en juillet.
Cette popularité draîne jusqu'à 30 000 personnes de tout âge vers les salles obscures de la Maison de la culture où sont diffusés sept jours durant les 13 films en compétition, mais aussi une quinzaine de films hors compétition et de très nombreux courts métrages sélectionnés tout au long de l'année parmi près de deux cents productions provenant de toute l'Océanie.
Pour sa part, Aude Dassonville, journaliste à Télérama, s'est intéressée de près aux transgenres. "Depuis la première édition du Festival international du film documentaire océanien (FIFO) et le film primé A cousin of mine, consacré à un transgenre expatrié aux Tuamotu, pas un FIFO sans un film sur le sujet, et pas un resté sans récompense ! note la journaliste. Dans un second article consacré au palmarès de cette 16e édition, la jeune femme insiste sur le rôle fédérateur du festival à l'échelle de l'immense continent océanien et souligne qu' "à Papeete, les documentaires présentés sont autant de façons de se donner des nouvelles, et de les partager avec le reste du monde".
En attendant l'ouverture de l'édition 2020, les films primés vont partir "hors les murs" à la rencontre de publics éloignés. Dans les archipels polynésiens mais aussi à Wallis et Futuna et en Nouvelle Calédonie.
Pour la première fois cette année ils vogueront aussi hors des frontières des collectivités françaises jusqu'à Port-Vila, capitale du Vanuatu.
Parmi les journalistes invités, Mustapha Kessous du journal Le Monde, note que "pour sa seizième édition, le FIFO poursuit l'une de ses principales missions, celle d’accueillir et exposer les innombrables peuples du Pacifique".
Dans son papier intitulé : "L'Océanie veut se réapproprier son histoire à travers les films documentaires " le journaliste donne la parole aux deux créateurs du festival, Wallès Kotra et Heremoana Maamaatuaiahutapu.
Ils lui expliquent comment au fil des ans cette rencontre inter océanienne a gané en notoriété et en popularité jusqu'à devenir le second évènement culturel le plus important de Polynésie française, après le plus que centenaire concours de chants et de danse annuel du Heiva en juillet.
30 000 visiteurs
Cette popularité draîne jusqu'à 30 000 personnes de tout âge vers les salles obscures de la Maison de la culture où sont diffusés sept jours durant les 13 films en compétition, mais aussi une quinzaine de films hors compétition et de très nombreux courts métrages sélectionnés tout au long de l'année parmi près de deux cents productions provenant de toute l'Océanie.
Pour sa part, Aude Dassonville, journaliste à Télérama, s'est intéressée de près aux transgenres. "Depuis la première édition du Festival international du film documentaire océanien (FIFO) et le film primé A cousin of mine, consacré à un transgenre expatrié aux Tuamotu, pas un FIFO sans un film sur le sujet, et pas un resté sans récompense ! note la journaliste. Dans un second article consacré au palmarès de cette 16e édition, la jeune femme insiste sur le rôle fédérateur du festival à l'échelle de l'immense continent océanien et souligne qu' "à Papeete, les documentaires présentés sont autant de façons de se donner des nouvelles, et de les partager avec le reste du monde".
En attendant l'ouverture de l'édition 2020, les films primés vont partir "hors les murs" à la rencontre de publics éloignés. Dans les archipels polynésiens mais aussi à Wallis et Futuna et en Nouvelle Calédonie.
Pour la première fois cette année ils vogueront aussi hors des frontières des collectivités françaises jusqu'à Port-Vila, capitale du Vanuatu.