L’huilerie Lolototasi est de nouveau en activité. C’est à l’initiative du Conseil Territorial des Femmes que ce projet avait vu le jour. Et après 3 ans d’inactivité le CTF est convaincu de l’intérêt que peut susciter l’huile vierge de coco sur le territoire
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La renaissance de l’huilerie Lolotasi
L'huilerie Lolotasi renaît de ses cendres, après 3 ans d’inactivité ce Groupement d’Intérêt économique reprend son activité avec une nouveauté, l’huile vierge. Le procédé est aujourd’hui plus simple avec une nouvelle presse à froid pour extraire l’huile de coco.
Pour Falelavaki Kukuvalu porteur du projet, le procédé est aujourd’hui plus simple. Après avoir extrait l’amande de coco de sa noix je le mets à sécher au soleil pendant une semaine. Ensuite je le mets dans la presse pour en extraire l’huile. Et les essences de fleurs aussi doivent être mises à sécher près d’une semaine pour être mélangé à l’huile vierge et en faire le produit final.
Mais je peux aussi le laisser tel quel sans les fleur et ça peut servir pour la cuisine. C’est une huile aux multiples usages puisque on peut aussi en boire une cuillerée tous les jours.
L'expèrience passée
L’huilerie première version utilisait une presse électrique mais avait l’inconvénient de garder des résidus de coprah dans le produit final. Et c’est dans le cadre du programme RITA piloté par le service de l’économie rurale que ce projet revoit le jour. Le porteur de projet a ainsi pu bénéficier d’une formation au Samoa. Et aujourd’hui Valelia Sione membre du Conseil Territorial des Femmes se félicite de ce nouveau départ, et pour marquer le coup a même organisé une exposition pour donner un plus en couleurs à cette réouverture " L’huilerie Lolotasi a aujourd’hui une capacité de production assez limitée. La presse a froid ne peut délivrer plus d’une vingtaine de litres par semaines. Mais c’est amplement suffisant pour une demande qui aujourd’hui est encore très limitée"
A travers la relance de la production d' huile vierge locale de coco, une dizaine de personnes trouve ou retrouve une activité. Un point point dans un contexte social difficile à Wallis.
L'artisanat wallisien est un secteur prometteur, même s'il est de petite échelle. Inciter à consommer local est un autre chantier pour permettre la survie de telles activités.
L'huilerie Lolotasi renaît de ses cendres, après 3 ans d’inactivité ce Groupement d’Intérêt économique reprend son activité avec une nouveauté, l’huile vierge. Le procédé est aujourd’hui plus simple avec une nouvelle presse à froid pour extraire l’huile de coco.
Pour Falelavaki Kukuvalu porteur du projet, le procédé est aujourd’hui plus simple. Après avoir extrait l’amande de coco de sa noix je le mets à sécher au soleil pendant une semaine. Ensuite je le mets dans la presse pour en extraire l’huile. Et les essences de fleurs aussi doivent être mises à sécher près d’une semaine pour être mélangé à l’huile vierge et en faire le produit final.
Mais je peux aussi le laisser tel quel sans les fleur et ça peut servir pour la cuisine. C’est une huile aux multiples usages puisque on peut aussi en boire une cuillerée tous les jours.
L'expèrience passée
L’huilerie première version utilisait une presse électrique mais avait l’inconvénient de garder des résidus de coprah dans le produit final. Et c’est dans le cadre du programme RITA piloté par le service de l’économie rurale que ce projet revoit le jour. Le porteur de projet a ainsi pu bénéficier d’une formation au Samoa. Et aujourd’hui Valelia Sione membre du Conseil Territorial des Femmes se félicite de ce nouveau départ, et pour marquer le coup a même organisé une exposition pour donner un plus en couleurs à cette réouverture " L’huilerie Lolotasi a aujourd’hui une capacité de production assez limitée. La presse a froid ne peut délivrer plus d’une vingtaine de litres par semaines. Mais c’est amplement suffisant pour une demande qui aujourd’hui est encore très limitée"
A travers la relance de la production d' huile vierge locale de coco, une dizaine de personnes trouve ou retrouve une activité. Un point point dans un contexte social difficile à Wallis.
L'artisanat wallisien est un secteur prometteur, même s'il est de petite échelle. Inciter à consommer local est un autre chantier pour permettre la survie de telles activités.