Suite à sa réunion avec le gouvernement en début de semaine sur la question de la réforme de la Protection Sociale généralisée, l'intersyndicale, qui refuse l'entrée en application du texte, tente de gagner la population à sa cause.
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L'intersyndicale a communiqué une nouvelle fois ses arguments quant au projet de réforme de la protection sociale généralisée (PSG). Des arguments qui vont à l'encontre de ce que souhaite le gouvernement.
Le groupement de syndicats tient à mettre la population en garde sur le pouvoir de décision que le gouvernement pourrait avoir avec l'adoption de la nouvelle loi du Pays. Car selon les représentants des salariés, "le gouvernement deviendrait le seul décideur des sous que les salariés auront mis de côté pour leurs pensions de retraite".
Elle précise également que "c'est le Pays qui doit de l'argent à la population, et non l'inverse". avant de lister les sommes que le gouvernement a engagées et qu'il devrait à la population : "9 milliards pour l'avance de la branche maladie pour l'année 2009-2010, 12 milliards pour les fonctionnaires territoriaux du centre hospitalier de Polynésie française, ou encore 600 millions par an pour le paiement des cotisations maladie, stagiaires CAE, CVD et autres".
L'intersyndicale termine en martelant que le monde du travail a été "le seul a avoir su maintenir une forme de solidarité autour du salaire" et que les salariés ont été "les seuls payeurs car leurs salaires a permis au peuple de survivre" et ce, malgré la crise et les diverses difficultés qu'a connue l'économie locale.
Le groupement de syndicats tient à mettre la population en garde sur le pouvoir de décision que le gouvernement pourrait avoir avec l'adoption de la nouvelle loi du Pays. Car selon les représentants des salariés, "le gouvernement deviendrait le seul décideur des sous que les salariés auront mis de côté pour leurs pensions de retraite".
Elle précise également que "c'est le Pays qui doit de l'argent à la population, et non l'inverse". avant de lister les sommes que le gouvernement a engagées et qu'il devrait à la population : "9 milliards pour l'avance de la branche maladie pour l'année 2009-2010, 12 milliards pour les fonctionnaires territoriaux du centre hospitalier de Polynésie française, ou encore 600 millions par an pour le paiement des cotisations maladie, stagiaires CAE, CVD et autres".
L'intersyndicale termine en martelant que le monde du travail a été "le seul a avoir su maintenir une forme de solidarité autour du salaire" et que les salariés ont été "les seuls payeurs car leurs salaires a permis au peuple de survivre" et ce, malgré la crise et les diverses difficultés qu'a connue l'économie locale.
Retrouvez le communiqué complet ici